EY, Asoko Insight et IC Publications s’associent pour publier ‘‘The Africa Ranking’’, le 1er classement des sociétés privées les plus performantes sur le continent africain.
‘‘The Africa Ranking’’ est une collaboration entre Asoka Insight (Asoko), fournisseur notoire de données sur les entreprises africaines, le magazine African Business, le célèbre et respecté mensuel économique africain publié par le groupe IC Publications (Londres-Paris), et EY, le leader mondiale du conseil en assurance, fiscalité et en opération commerciale.
Ce rapport produira un classement complet des sociétés privées les plus performantes en Afrique. Les données soumises seront évaluées selon trois types d’indicateurs : la performance financière, la croissance, et la gouvernance. ‘‘The Africa Ranking’’ est sur le point de devenir la référence, basée sur des données vérifiables et auditées, concernant les sociétés leaders en termes de croissance dans la région.
Omar Ben Yedder, directeur général d’IC publication, a déclaré que ce rapport donnerait aux investisseurs une meilleure compréhension des acteurs de la croissance en Afrique et des secteurs qui affichent les meilleurs résultats. ‘‘African Business’’ fournit déjà un classement annuel des 250 plus importantes sociétés africaines cotées en bourses.
Ce document destiné à être publié en février 2017 fournira par la même occasion une forte exposition aux sociétés autant en termes de benchmark que de performance.
Selon le co-fondateur d’Asoko et directeur général, Rob Withagen, ‘‘The Africa Ranking’’ est à la fois opportun et pertinent, dans le sens où il apporte aux potentiels investisseurs et aux sociétés un éclairage sur la une classe intermédiaire méconnue du secteur privé. «Ces dix dernières années, le secteur privé a été le témoin d’une impressionnante croissance du commerce et des investissements. La plupart des articles sont focalisés sur les sociétés les mieux implantées sur le marché. ‘‘The African Ranking’’ est le premier projet panafricain qui identifie le progrès d’un ensemble plus large de sociétés africaines avec qui le monde des affaires et les investisseurs peuvent interagir», a-t-il déclaré.
Le classement sera ouvert aux sociétés qui ont un chiffre d’affaire annuel d’au moins 500.000 $, et toutes les sociétés souhaitant être valorisées doivent être à but lucratif et avoir leur siège social en Afrique. La sélection se fera sur la base de la croissance annuelle, et non de la taille financière.
Michael Lalor, partenaire principal du département Afrique d’EY, a déclaré que, «malgré les incertitudes actuelles, les perspectives à long terme pour la croissance économique et l’investissement en Afrique restent positif. Cependant, les opportunités d’investissements sont susceptibles d’être plus inégales dans les années à venir. Notre entreprise est véritablement intégrée en Afrique, et nous croyons que cette collaboration permettra d’affirmer et de soutenir notre point de vue sur le récit de la croissance du continent. De nombreuses entreprises y jouent un rôle important dans leur économies respectives, et nous devons continuer à mettre en valeur et partager leurs succès au niveau local et international».
Un avantage sera accordée aux entreprises qui ont connu une augmentation des échanges commerciaux avec d’autres États africains et le système de notation adopté devra également tenir compte de la croissance des investissements vers d’autres États africains. Chaque entrée sera pondérée afin que les indicateurs les plus importants aient le plus grand impact sur le score d’une entreprise.
Plus de détails sur ‘‘The Africa Ranking’’ sont disponible sur cette page dédiée.
I. B. (avec communiqué).
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