«L’UGTT n’est pas responsable des tensions sociales mais, plutôt, le manque de crédibilité des négociations et le non-respect par les autorités de leurs engagements».
C’est ce qu’a indiqué, dimanche 12 février 2017, le nouveau secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), lors d’une cérémonie à Tozeur, organisée par les syndicalistes de la région en l’honneur des ex-membres du bureau exécutif de la centrale syndicale et à leur tête l’ex-secrétaire général Houcine Abassi.
Tout en affirmant que le nouveau bureau exécutif de l’UGTT d’il dirige a de nombreux défis à relever, M. Taboubi a précisé que certains de ces défis sont internes et concernent l’harmonisation du fonctionnement interne de l’UGTT avec les exigences de son nouveau statut et son ouverture sur son environnement extérieur et notamment sur les autres composantes de la société civile et les partenaires sociaux.
Le secrétaire général de l’UGTT a, dans ce contexte, déclaré que «la centrale syndicale œuvre pour la résolution de plusieurs dossiers dont le plus important est celui des négociations sociales dans le secteur privé», appelant, à cette occasion, le «partenaire social», à savoir l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica, centrale patronale), à accélérer le traitement de ce dossier.
A. K.
Donnez votre avis