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L’ex-joueur et ex-entraîneur de l’Espérance Nabil Maaloul défend Al Ahly

Pointé du doigt pour avoir bénéficié de deux penaltys très douteux en finale aller de la Ligue des champions vendredi 2 novembre 2018 contre l’Espérance Tunis (3-1), Al Ahly a trouvé un bon défenseur en la personne de Nabil Maaloul, ex-joueur et ex-entraîneur de l’Espérance de Tunis.

«Le penalty de l’Espérance était mérité, c’est pourquoi nous n’avons pas protesté. Mais les gens s’opposent encore aux décisions prises par les arbitres», a réagi le technicien français Patrice Carteron, entraîneur du club cairote, aux médias (y compris français) qui ont insisté sur les deux cadeaux offerts au club du Caire par l’arbitre algérien Mehdi Abid Charef.

Depuis la finale aller de la Ligue des champions remportée vendredi par Al Ahly (3-1), les deux penaltys très contestables accordés au club cairote font couler beaucoup d’encre. L’entraîneur des Diables Rouges a contre-attaqué en accusant l’EST de ne pas être irréprochable non plus. Le technicien français affirme avoir été victime d’«une agression d’un joueur de l’espérance», dont il est le seul à parler, puisque personne n’a vu cette «agression». Ce n’est pas le cas des cadeaux de l’arbitre algérien à M. Carteron et à son équipe que tout le monde, dans la planète football, a vus et revus en boucle.

 

Etrangement, pour l’ancien sélectionneur de la Tunisie, Nabil Maaloul, «il n’y a pas de quoi crier au scandale». Selon l’ex-joueur et ex-entraîneur de l’Espérance, Al Ahly «mérite la victoire pour s’être montré le meilleur dans le jeu». Mais il ne fait aucunement allusion aux fautes graves de l’arbitre algérien qui ont largement lésé l’Espérance.

Comme d’habitude, Maaloul s’est étalé en analyse tactico-technique alors qu’il n’y avait pas match, Charef ayant pourri la rencontre non seulement par ses décisions erronées mais aussi par ses très fréquents arrêts de jeu. L’arbitre s’était même pris à la VAR comme s’il découvrait son nouveau «jouet». Outre sa mauvaise foi qui a fini par dégoûter du football. Maaloul n’a pas vu que c’était une mascarade et il a continué à parler de schémas de jeu.

S’apercevant de sa grosse bourde, il a fait un revirement de 360 degrés en avouant cette fois que l’EST a été victime d’une injustice. En 48 heures d’intervalle, le bonhomme dit la chose et son contraire. Que retenir sa première ou sa seconde déclaration ?

Le double langage insupportable de Maaloul est bien connu. Il ne va pas changer maintenant ! Toujours à côté de la plaque, l’imam Maaloul !

H. M.

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