Un spot qui ne passe pas inaperçu et ne laisse pas indifférent… Pourquoi ? Parce que la chanson de la campagne Abida est un mix de rythme traditionnel aux couleurs modernes.
Abida se présente dans une comédie musicale, un mashup, nous rappelant les fameux ‘‘Fawazir’’ du mois de ramadan en créant toute une histoire autour de notre patrimoine musical ce qui nous mène à parler du volet de la comédie dans le spot.
Les sosies des artistes, méticuleusement choisis, habillés et maquillés, ont été placés dans le spot afin de faciliter l’identification des chansons, la familiarisation avec le concept du spot, et toucher les fans de ces artistes.
La société Abida a opté, ces dernières années, pour une nouvelle stratégie pour se rénover en mettant en valeur le patrimoine culinaire tunisien; un patrimoine très diversifié et qui nous démarque, en tant que Tunisiens, du reste du monde et qui se manifeste surtout à l’intérieur du pays où chaque région se distincte de l’autre par une cuisine riche ayant sa propre empreinte.
Cette diversité créatrice de richesse est tout à fait comme les produits d’Abida.
Il est assez évident de voir que la marque a choisi cet axe dans sa stratégie de communication durant la campagne ‘‘Rou7 el mekla ettounseya’’.
Le message principal de la campagne est le suivant : Abida accompagne nos plats et leur donne une saveur traditionnelle, authentique, exquise et savoureuse. Ce message se manifeste dans les différents plats illustrés dans le spot dans des époques et des cadres de notre histoire.
Qui aurait cru que le plat des militaires ottomans va devenir un des plats les plus populaires de notre époque ? Avec son goût piquant et riche, on parle sans doute du fameux ‘‘Lablabi’’ connu dans le monde entier. S’hayfa Lablabi avec du Hrous Abida partagée avec sa campagne va sûrement rendre l’ambiance “Haffeli” pour le Sultan.
Dans une cuisine mouvementée par les chants de la sosie de Saliha, la boîte de conserve de tomate Abida est au centre de l’univers du spot. Cette boîte est l’essence même de la “Chmenka” et du “Hlelem” chantées par la sosie de Ali Riahi.
Voir la «Chakchouka» (avec ses origines très controversées) et le «Mo9li» (avec un savoir-faire venant de plusieurs civilisations en Tunisie) dans un cadre de café chantant démontre encore une fois l’harmonie qu’Abida a voulu mettre en valeur dans notre culture populaire et notre cuisine traditionnelle tunisienne.
Abida a assuré dans sa campagne une combinaison fine et délicate entre les traditions, les origines et les astuces culinaires avec un mixte d’émotions rassemblant nostalgie, joie, amour et euphorie.
Source : communiqué.
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