Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a affirmé, dans une déclaration accordée au journal «Achaâb» que son organisation n’acceptera aucun dialogue excluant les forces nationales parmi les partis et les associations.
Il a ajouté que la relations de la centrale syndicale avec le gouvernement restera tendue tant qu’elle adoptera «des solutions de palliation» et qu’elle ne met pas en place des réformes créatrices de richesse.
Par ailleurs, il a confirmé les propos du vice-président de l’UGTT, Sami Tahri, selon lesquels le dialogue national n’a pas été abordé lors de la rencontre qui a réuni récemment des représentants de l’organisation syndicale et le président de la république, Kaïs Saïed, et ce, contrairement à ce qu’a laissé entendre, hier, ce dernier.
C. B. Y.
Sami Tahri : «Un dialogue auquel les partis ne participent pas n’a aucun sens»
Kaïs Saïed : «Nous avons déjà entamé le dialogue»
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