Le Parti destourien libre (PDL) a adressé, vendredi 22 mars 2024, «une lettre de doléances» à la présidence du gouvernement, l’appelant «à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à la poursuite de l’interdiction de ses activités par les institutions de l’Etat».
Le PDL, dont la présidente, Abir Moussi, est incarcérée depuis le 4 octobre dernier dans des affaires à caractère politique, selon ses partisans, a également appelé au respect de l’article 5 du décret-loi qui «interdit à l’État d’entraver l’activité des partis».
Faisant allusion à la conférence prévue par le PDL, vendredi soir à l’Ariana, et qui a également été interdite, le parti de Mme Moussi a souligné que «les décisions arbitraires prises par les représentants des autorités régionales [à son égard] sont dépourvues de toute justification légale».
I. B.
Donnez votre avis