La nouvelle audience de l’affaire de complot contre la sûreté de l’État, prévue pour le 11 avril, se déroulera également à distance. Décision que les accusés perçoivent « comme un signe de faiblesse de la part du pouvoir en place».
C’est ce qu’indique l’avocate Dalila Ben Mbarek Msaddak via un message publié ce vendredi 28 mars sur son compte Facebook, et d’ajouter : « Nous n’avons pas peur d’affronter la justice… c’est eux qui ont peur de nous ».
L’avocate estime par ailleurs que cette décision de maintenir un procès à distance est une « victoire et un aveu de la fragilité du dossier d’accusation ».
Y. N.
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