L’histoire de la mère britannique de trois enfants qui affirme avoir été agressée sexuellement par un opérateur en pleine séance de parachute ascensionnel alors qu’elle était en plein vol en Tunisie a été reprise hier, lundi 4 juillet 2025, par les médias du monde. Cette histoire scabreuse intervient en pleine haute saison touristique et ne redore pas l’image de pays.
Michelle Wilson, 52 ans, a déclaré qu’elle était attachée à un harnais par un parachutiste lorsqu’il s’est collé à elle et l’a pelotée pendant qu’ils s’élevaient dans le ciel au large de la plage de Sousse, en Tunisie.
«Je sentais qu’on tirait sur l’arrière de mon bas de bikini, et il tirait sur la sangle. Il a dû resserrer le harnais pour mieux me coller», a-t-elle déclaré au Sun, l’un des journaux les plus populaires en Grande-Bretagne.
On épargne au lecteur le reste de son récit détaillé sur la manière dont elle aurait été violée en plein vol.
«Je me sentais violée, sale et j’avais peur. Ce n’était qu’un jeune garçon, peut-être une vingtaine d’années», a-t-elle ajouté, en précisant avoir initialement prévu de faire le tour avec une amie, mais on lui a dit qu’il y avait trop de vent et qu’elle et son amie devraient y aller séparément, accompagnées par un opérateur.
Wilson a raconté que dès son retour au sol, elle a fondu en larmes, avant de dénoncer l’opérateur et de signaler l’incident à la police locale, ajoutant que cet incident avait gâché ses vacances.
«En tant que femmes, on s’attend à un peu de plaisanterie de la part des hommes dans ces pays, mais ce n’était pas du badinage, c’était une agression sexuelle», a-t-elle conclu.
En attendant que la police fasse la lumière sur cette affaire, puisque l’opérateur en question a été arrêté, selon sa victime, il est recommandé aux opérateurs du tourisme de bien choisir les personnes qu’ils emploient dans leurs établissements et qu’ils leur inculquent, surtout, les règles strictes du service à la clientèle.
I. B.
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