Parmi les 1 200 à 1 350 femmes de différentes nationalités ayant rejoint l’Etat islamique (Daêch) en Irak, 700 sont Tunisiennes.
Dans un entretien avec le quotidien ‘‘Al-Maghreb’’, Hisham Alhashimi, chercheur au Centre Al-Nahrain pour les études stratégiques (Irak), spécialisé dans les groupes jihadistes, a précisé que ces Tunisiennes assurent différentes tâches: transfert du courrier privé, de l’argent ou soins des malades et des blessés.
Hisham Alhashimi n’a pas parlé du «jihad nikah» (prostitution halal). Par pudeur ou par rigueur scientifique?
Z. A.
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