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Catégorie : A LA UNE

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Le poème du dimanche : ‘‘Le Pont Mirabeau’’ de Guillaume Apollinaire

Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky, est né à Rome le 25 août 1880, de mère polonaise et de père inconnu, probablement un officier italien, et décédé à Paris le 9 novembre 1918. C’est un célèbre poète français du XXe siècle, qui a marqué son époque en ouvrant...

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Les révolutions à l’épreuve de l’air du temps

À chaque époque les hommes expriment des opinions, adoptent des postures qu’ils croient issues de leur propre réflexion alors qu’elles viennent de «l’air du temps». Ce n’est pas une «fatalité» mais c’est un vent puissant auquel il est difficile de ne pas céder. Mais au lieu d’être piégé par l’air du temps, ne convient-t-il pas...

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Algérie : succession sans surprise à la tête de l’armée

Dans un parfait ordonnancement, l’armée algérienne s’est dotée d’un nouveau chef d’état major de plein exercice. L’intérimaire du général Gaïd Salah, décédé en décembre, le général Saïd Chanegriha, a été sans surprise confirmé dans le poste. Par Hassen Zenati

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Gouvernement Elyes Fakhfakh : déconfinement ou déconfiture ?

Le confinement imposé en Tunisie, pour contrer la Covid-19, a sauvé des centaines de vies humaines, mais sa sévérité disproportionnée et sa mal-gouvernance économique a détruit des centaines de milliers d’entreprises et d’emplois. Aujourd’hui, l’heure est au déconfinement, sur fond de violentes tensions sociales en régions et des soupçons de corruption au sommet de l’État....

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Kaïs Saïed, un président sur un nuage

En recevant aujourd’hui, vendredi 3 juillet 2020, au Palais de Carthage, le président de la Chambre des représentants du peuple (ARP), Rached Ghannouchi, et le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh, le président de la république, Kaïs Saïed, a cru devoir rappeler à chacun sa juste place au sein de l’Etat tunisien. Et, ce faisant, se...

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Algérie : mesures d’apaisement en faveur du «hirak»

À trois jours de la célébration du 58e anniversaire de l’indépendance, le 5 juillet 1962, le président Abdelmadjid Tebboune a gracié six détenus du mouvement de contestation du «hirak», condamnés pour leur participation à des manifestations de rues. Il s’agit d’une «grâce totale», selon le décret présidentiel, mais pas d’une amnistie. Par Hassen Zenati

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