Tunisie : Ooredoo lance son programme RSE «Tounes T3ich»

Vingt ans de succès et de croissance à l’échelle nationale ont permis à Ooredoo d’être plus proche des Tunisiens et de s’engager davantage aux cotés de la société civile tunisienne à travers plusieurs actions citoyennes afin de consolider les valeurs du civisme, de la civilité, de la solidarité et d’être un véritable partenaire de confiance.

Les femmes dans les affaires : La Facilité Investissements pour l’emploi invite les entreprises en Égypte, au Sénégal et en Tunisie à une manifestation d’intérêt

L’Facilité Investissements pour l’emploi (IFE) octroie des subventions de cofinancement à des projets d’investissement ayant un impact important en termes de création d’emplois. Les projets éligibles sont identifiés et sélectionnés par le biais d’appels à propositions publics. L’IFE a l’intention de lancer un appel à projets régional, axé sur les femmes dans le monde des affaires. Pour explorer le marché, l’IFE invite les candidats potentiels à manifester leur intérêt à participer à cet appel.

Ooredoo lance son programme de responsabilité sociétale «Tounes t3ich», en partenariat avec le Croissant-Rouge

Dans le cadre de la consolidation des valeurs de la responsabilité sociétale auxquelles elle croit, Ooredoo a organisé, ce lundi 28 mars 2022, à son siège social, à Tunis, une conférence de presse pour présenter ses actions RSE prévues pour cette année, et pour signer, dans la même optique, un partenariat avec le Croissant-Rouge tunisien. Par Cherif Ben Younès

Tunisie : Décès d’un jeune après avoir été violenté par des agents de sécurité d’une boîte de nuit à Sousse

La police judiciaire de Sousse a arrêté deux agents de sécurité d’une boîte de nuit à Sousse, accusés d’avoir violemment agressé deux jeunes dont un ayant succombé à ses blessures. Ils ont été placés en détention et seront poursuivis pour meurtre et violences aggravées alors que l’enquête se poursuit.

Nour, une étudiante tunisienne victime collatérale de la guerre russo-ukrainienne

L’ayant fait une première fois, il y a deux mois, nous ouvrons de nouveau les colonnes de Kapitalis à un père tunisien dont la fille, prénommée Nour, se trouve «piégée» du côté russe de la zone de guerre, là où la pression économique exercée par l’Occident sur Moscou se fait sentir de plus en plus lourdement. Les médias occidentaux, pour des raisons qui les concernent, n’en parlent pas ou pas assez. La correspondance, que nous publions ci-dessous, soulève cet aspect de l’asphyxie à laquelle la Russie de Poutine est soumise. Nour, étudiante tunisienne en Russie, victime collatérale, en pâtit elle...

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