Que serait la Tunisie si l’UGTT n’avait pas existé ?

«Que serait la situation des Tunisiens si l’organisation syndicale n’avait pas existé», se demande le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Samir Cheffi. L’arrogance qui l’anime, ainsi que ses camarades de la direction de la centrale syndicale, les empêche de constater tout le mal que celle-ci a causé à la Tunisie et, notamment, aux salariés qu’ils prétendent défendre. Coup de gueule pour coup de gueule… Par Ridha Kéfi

Tunisie : La Révolte du Jasmin gagnée par fatigue démocratique ?

La jeune «démocratie» tunisienne est au bout du rouleau et les Tunisiens lambda ne veulent plus supporter leurs «élites» dysfonctionnelles qui envahissent l’espace public avec un discours creux, dépourvu d’un minimum de jugeote économique, sans vision stratégique et sans un minimum de bon sens éthique. Les citoyens revendiquent plus d’efficacité, plus de pragmatisme dans la gestion de l’État et des services publics. Ils appellent de leurs vœux des changements, des réformes et des politiques innovantes. Qui tardent à venir… Par Moktar Lamari, Ph. D. *

La femme de Bhiri lève son sit-in à l’hôpital Bougatfa de Bizerte pour le poursuivre à la Maison de l’avocat à Tunis

Saïda Akrémi qui a annoncé, hier, qu’elle ne quittera pas l’hôpital Bougatfa à Bizerte, sans son époux le dirigeant nahdhaoui Noureddine Bhiri (en résidence surveillée depuis le 31 décembre) a finalement décidé de lever son sit-in, pour le poursuivre à la Maison de l’avocat à Tunis, et ce sur demande du comité de défense de son mari.

error: Contenu protégé !!