Une 3e démission a été enregistrée ce vendredi 9 septembre 2021, au sein du parti Qalb Tounes : la députée Sihem Chrigui a emboîté le pas à ses collègues Jedidi Sboui et Mohamed Skhiri qui ont annoncé, aujourd’hui, qu’ils quittent le parti de Nabil Karoui. C’est aussi le 5e départ au total depuis le gel de l’Assemblée, annoncé le 25 juillet, sachant que Mohamed Sadok Jabnoun et Foued Thameur ont démissionné, respectivement le 12 août, et le 8 septembre.
Ce que l’Union européenne attend de la Tunisie post-25 juillet 2021
L’Union européenne (UE) attend aussi de voir le président Saïed faire connaître rapidement sa feuille de route promise depuis le 25 juillet et non encore annoncée. Elle aimerait aussi voir celle-ci contenir des actions institutionnelles, politiques, économiques, sociales et culturelles réalistes, crédibles et réalisables, dans le droit fil de la culture tunisienne et loin de tout aventurisme. Par Raouf Chatty *
Cinéma : Le film « Respect » sur la reine de la Soul Aretha Franklin sort en Tunisie
Récemment sorti aux Etats-Unis et en France, le tout nouveau film biographique américain « Respect » sur la vie et la carrière de la reine de la soul Aretha Franklin est désormais disponible également en Tunisie au Pathé Tunis City.
Tunisie : Les députés Jedidi Sboui et Mohamed Skhiri quittent Qalb Tounes
Plus rien ne va au sein de Qalb Tounes, dont le président Nabil Karoui et son frère le député (gelé) Ghazi Karoui sont en détention en Algérie, où ils sont entrés illégalement après avoir fui la Tunisie. En effet, deux nouvelles démissions, s’ajoutent ce vendredi 10 septembre 2021, à celles annoncées par les députés Mohamed Sadok Jabnoun, le 12 août, et Foued Thameur le 8 septembre, sachant que Jaouher Mghirbi a décidé le 19 août de suspendre son adhésion au parti.
Covid-Tunisie : Bilan du 8 septembre 2021
Sur 13747 tests de dépistage du coronavirus, 1590 sont revenus positifs le 8 septembre, annonce le ministère de la Santé, dans un communiqué publié ce vendredi 10 septembre 2021, en ajoutant que 23 décès et 3857 guérisons ont été enregistrés ces dernières 24h.
Tunisie : Hubert Tardy-Joubert prend ses fonctions à la tête de l’IFT et s’adresse pour la première fois au public tunisien
Le nouveau directeur de l’Institut Français de Tunisie (IFT) Hubert Tardy-Joubert t a adressé un message d’enthousiasme et de confiance au public tunisien et a exprimé sa joie de rejoindre la Tunisie et d’être à la tête de l’IFT.
Précision : Hela Ouardi n’a pas été élue membre titulaire de l’Académie royale de Belgique
Nous avions écrit récemment (6 septembre 2021) que l’écrivaine tunisienne Hela Ouardi a été élue membre de l’Académie royale de Belgique («Tunisie : Hela Ouardi fait son entrée à l’Académie royale de Belgique », qui nous a écrit pour rectifier cette information inexacte.
La figue de Djebba vedette d’une exposition virtuelle mondiale
La renommée de l’AOC figue de Djebba (nord-ouest de la Tunisie) commence à dépasser les frontières de la Tunisie. Ce fruit phare figure parmi les 7 produits sélectionnés par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) pour être présenté à l’occasion de l’exposition virtuelle (6 septembre 2021- 6 mars 2022) qui est organisée en marge du Colloque mondial des indications géographiques (IG); le plus important événement au monde en ce qui concerne les IG et AOC.
Pourquoi est-ce démagogique de comparer la Tunisie au Maroc?
La Tunisie n’est pas le Maroc et le Maroc n’est pas la Tunisie. Chaque pays a ses spécificités. Et les comparaisons entre les deux voisins maghrébins, auxquelles certains sont souvent portés dans les deux pays, ne sont pas raison. Et pour cause… Par Chedly Mamoghli *
Ces rentiers qui empêchent les réformes économiques en Tunisie ?
Nous sommes confrontés aujourd’hui en Tunisie à un grand paradoxe : une partie infime des Tunisiens est presque aussi riche que l’Etat, qui, lui, ne parvenant pas à collecter suffisamment d’impôt pour financer son budget, survit (difficilement) grâce à l’endettement extérieur qui a explosé au cours des dix dernières années, passant de 35% du PIB en 2010 à plus de 100% aujourd’hui. Comment est-on arrivé à cette situation qui dénote un grave dysfonctionnement au niveau de la gouvernance économique ? Par Mohamed Rebaï *