Pour n’avoir pas célébré la fête de l’indépendance, Kaïs Saïed inquiète

Le fait que le président de la république Kaïs Saïed, qui est censé incarner l’Etat, n’ait pas jugé nécessaire de célébrer, le 20 mars 2021, le 65e anniversaire de l’indépendance de la Tunisie, une date chère à tous les Tunisiens, en a surpris voire choqué plus d’un. Nous reproduisons, ci-dessous, à titre d’exemple, le post publié hier et reproduit ci-dessous. Par Dr Rafik Mzali *

Les Américains, les islamistes et les critiques d’Abir Moussi

Les critiques d’Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL) aux Américains et surtout aux démocrates, coupables à ses yeux d’avoir soutenu et de soutenir encore les Frères musulmans, dont les Tunisiens d’Ennahdha, exprimées publiquement hier, samedi 20 mars 2021, lors d’un meeting populaire à Sfax, à l’occasion de la célébration du 65e anniversaire de l’indépendance de la Tunisie, sont légitimes et justifiées. Mais sans fanfaronnades stériles et sans jouer la carte de l’anti-américanisme primaire. ** Vidéo. Par Chedly Mamoghli

Tunisie : ni démocratie ni dictature mais… un état de terrorisme

En Tunisie, nous avons bien un pluripartisme et une liberté d’expression mais de façade, dominés par un projet politico-religieux incarné par le parti islamiste Ennahdha et porté par un mouvement planétaire qui s’insère dans le néolibéralisme de la mondialisation et les conflits entre blocs où il nous entraîne. Qualifier cela de démocratie serait donc tout aussi hasardeux que le baptiser dictature. Et si on s’en réfère à ses résultats depuis 10 ans, ce régime n’a fait que mener le pays, de retraite en débâcle, vers la faillite. Ni démocratie ni dictature mais… un état de terrorisme. Par Dr Mounir Hanablia...

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