Massacre de chiens à Djerba : La direction générale des services vétérinaires dénonce un crime odieux

La direction générale des services vétérinaires (DGSV) relevant du ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime et des Ressources hydrauliques, a fermement condamné, avec 2 jours de retard, le massacre survenu le 22 juillet 2020 dans un refuge à Djerba où plus d’une vingtaine de chiens ont été tués par des inconnus.

Coronavirus : Dix-neuf nouveaux cas dépistés en Tunisie

Le ministère de la Santé a annoncé aujourd’hui, vendredi 24 juillet 2020, avoir enregistré 19 nouveaux cas de coronavirus, tous importés. Le nombre de contaminations dépistées, depuis l’apparition de la pandémie en Tunisie, le 2 mars dernier, s’élève désormais à 1425, dont 1124 guérisons et 50 décès.

Tunisie : Les parfumeurs et les cosméticiens craignent pour l’avenir de leur secteur

Dans un communiqué publié aujourd’hui, vendredi 24 juillet 2020, la Chambre syndicale de la parfumerie et des cosmétiques relevant de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), alerte sur les difficultés du secteur et appelle à permettre et encourager la fabrication locale de l’alcool, par des opérateurs privés ou dans le cadre d’un partenariat public privé (PPP). Nous reproduisons le communiqué ci-dessous…

Fraude au CV : l’État tunisien doit immuniser son gouvernement

Gonflés, flous ou tronqués, les CV d’un grand nombre des 330 ministres ayant gouverné le pays depuis la Révolte du Jasmin en 2011 sont «bidonnés». Des CV, enjolivés à l’excès et trop beaux pour être vrais, ont permis l’accès à des postes clefs à des candidats soutenus politiquement, mais totalement incompétents en gouvernance et inefficaces en matière de politiques publiques. Un CV sur deux soulève des questions. Plus que jamais, l’État tunisien est infiltré par chefs de gouvernement et des ministres ayant menti sur leurs compétences, diplômes, expertises, ou conflits d’intérêts. Par Moktar Lamari, Ph. D.

Il y a 63 ans, le 25 juillet 1957, naissance de la république tunisienne

La Tunisie pays accède à l’indépendance en 1956, après 75 ans de protectorat français. Mais une question reste en suspens : que faire de Lamine Bey et du beylicat en place à Tunis ? Une monarchie constitutionnelle est-elle compatible avec l’idéologie républicaine revendiquée par le Premier ministre Habib Bourguiba et son parti, le Néo-Destour ? La question est tranchée lors d’une journée historique au palais du Bardo. Voici comment le rideau est tombé sur un régime vieux de deux siècles et demi. Par Mohamed Habib Salamouna *

Poursuivi par la justice suisse, Khayam Turki est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en Tunisie

Il y a comme une sorte d’accord unanime de l’establishment politico-affairiste tunisien sur deux noms pour succéder au chef du gouvernement démissionnaire Elyès Fakhfakh : Fadhel Abdelkefi et Khayam Turki. Si pour le premier, il convient de faire attention à ce qu’il n’y ait pas de conflit d’intérêts, car il a des liens avec plusieurs groupes privés. Pour le second, on risque de faire face à un scandale financier international. Explication… Par Ridha Kéfi

Me Gzara : «Le lien entre Ghannouchi et Mustapha Khedher, poursuivi dans les assassinats de Belaïd et Brahmi, est avéré»

«Le relevé téléphonique de Mustapha Khedher, poursuivi dans les assassinats de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, contient des communications fréquentes avec deux numéros de téléphone, dont celui du chef d’Ennahdha, Rached Ghannouchi et un autre appartenant à Kamel Bedoui, membre de l’appareil sécuritaire du parti islamiste», affirme Me Imène Gzara membre du comité de défense des deux martyrs, assassinés, en 2013, par des extrémistes de la mouvance islamiste.

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