Béji Caïd Essebsi, le bon grain et l’ivraie : Un dernier p’tit tour et puis s’en vont

Isolé dans son propre camp et mis en minorité dans le pays, Béji Caïd Essebsi pourrait, pour reprendre la main, sacrifier son propre fils et la bande qui l’entoure pour gagner en popularité et regagner la confiance d’un électorat déçu. Ça pourrait être le prix à payer. Mais serait-il capable d’un tel coup ? Par Ali Gana *

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