N’ayant pas pu supporter la mort de sa fille, un père a rendu l’âme quelques heures avant l’enterrement de celle-ci.
La Tunisie retire les chocolats Kinder du marché
Les chocolats de la marque Kinder, produits par le groupe italien Ferrero, suspectés d’être cancérigènes, seront retirés du marché tunisien.
Tebourba : Décès de la femme brûlée vive par son mari
La femme poignardée par plusieurs coups de couteaux et brûlée, samedi dernier, à Hammed, Tebourba (Manouba) est décédée.
SOCIETETunisie
Non-lieu pour le directeur de la Poste de Tozeur : La justice se rachète
Le tribunal de première instance de Tunis a annoncé, aujourd’hui, un non-lieu pour Ahmed Ben Othman, directeur de la Poste de Tozeur.
Pas d’eau à la station thermale de Korbous !
Depuis 7 heures du matin, la station thermale de Korbous n’arrive pas à s’approvisionner en eau. Ces coupures récurrentes deviennent un problème réel.
Djerba : Klay BBJ quitte l’hôpital
Klay BBJ, à Djerba, quelques heures avant l’accident. Contrairement à ce qui a été diffusé par des médias, le rappeur Klay BBJ n’est pas dans le coma et ne souffre pas d’hémorragie cérébrale.
A LA UNETRIBUNE
Les mauvais calculs du président Caïd Essebsi
Béji Caïd Essebsi impose son fils à des partenaires mielleux et intéressés. Profitant de l’indulgence intéressée de ses alliés islamistes, Béji Caïd Essebsi tente de remettre en place un système fondé sur le népotisme, le clientélisme et la corruption. Par Abdelmajid Mselmi *
Le nouveau bâtonnier élu grâce à un accord entre Ennahdha, Nidaa et ex-RCD
Le bâtonnier Ameur Mehrezi. Le nouveau bâtonnier Ameur Mehrezi a été appuyé par 3 grosses pointures politiques, a indiqué Boubaker Bethabet, l’un des candidats perdants de l’élection.
L’Utica constate une amélioration de la situation économique
La situation économique en Tunisie a connu une amélioration dans certains secteurs, notamment celui du montage automobiles, estime Wided Bouchamaoui.
‘‘Fenêtre sur…’’ de Raja Ben Ammar: Chronique d’une folie ordinaire
Dans ‘‘Fenêtre sur…’’ **, dernière pièce de théâtre de Raja Ben Ammar, le «moi» de l’individu tangue sous le poids du «surmoi» collectif. Par Ezzedine Ferjani *