Le président Saïed a été réceptif, mais il n’a pas eu de réponse aux questions soulevées, affirme Bassem Trifi.
Étiquette : Bassem Trifi
Crise en Tunisie : Réunion entre l’UGTT, l’Ordre des avocats et la LTDH
Crise en Tunisie : Réunion entre l'UGTT, l'Ordre des avocats et la LTDH
Tunisie : Le président de la LTDH reçu par le chef de l’Etat
Tunisie : Le président de la LTDH reçu par le chef de l'Etat
Tunisie : Le ministre de l’Intérieur reçoit le président de la LTDH
Tunisie : Le ministre de l’Intérieur reçoit le président de la LTDH
Tunisie : Bassem Trifi nouveau président de la LTDH
Comme attendu, Bassem Trifi a été choisi comme nouveau président de la LTDH et Najet Zemmouri, première vice-présidente,
Tunisie : Bassem Trifi incarne la continuité du combat de la LTDH pour les droits et les libertés
Me Bassem Trifi incarne, aux yeux des membres de la LTDH, la continuité du combat pour ces mêmes libertés et droits loin de toutes considérations politiciennes ou d’alliances politiques douteuses.
Tunisie : Bassem Trifi dénonce l’impunité systématique des agents de sécurité
L’impunité en Tunisie est une politique quasi systématique en Tunisie, notamment dans les affaires impliquant des agents de sécurité.
Bassem Trifi : «Nous vivons dans une atmosphère de répression»
Le vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH), Bassem Trifi, a déploré la répression des manifestations dans plusieurs régions du pays, estimant que nous vivons actuellement dans une atmosphère où le contrôle répressif de l’Etat, à travers la police, règne.
Tunisie : L’Etat aurait dû s’excuser du meurtre de Mohsen Zayani, estime Bassem Trifi
Suite au meurtre de Mohsen Zayani par des douaniers, «l’Etat tunisien aurait dû s’excuser suite à la perte humaine sans raison».
Bassem Trifi : «Saïed aurait dû limoger le ministre de l’Intérieur après ce qui s’est passé à Sfax»
Selon Bassem Trifi, vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH), le retrait des sécuritaires pendant le spectacle de l’humoriste Lotfi Abdelli, à Sfax, alors qu’ils étaient censés l’assurer, a été une «première dangereuse, qui menace les droits et libertés».