Alors que la polémique opposant le président de la république Kaïs Saïed et le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) bat son plein, le chef de l’Etat reprochant au pouvoir judiciaire de se dérober à ses responsabilités en matière de lutte contre la corruption et le terrorisme, les circonstances de la libération et de la...
Étiquette : conseil supérieur de la magistrature
Affaire Bhiri : Non aux ingérences étrangères dans les affaires de la Tunisie
L’empressement de l’ambassadeur d’Allemagne à Tunis, Peter Bruegel, de rencontrer la ministre de la Justice, Leila Jaffel, ce lundi 3 janvier, le nouvel an venant juste de commencer, suite à la mise en résidence surveillée, le 31 décembre dernier, de Noureddine Bhiri, vice-président du parti islamiste Ennahdha, ne peut être raisonnablement perçu que comme une...
A travers l’arrestation de Noureddine Bhiri, Kaïs Saïed s’attaque à l’hydre islamiste
L’arrestation de Noureddine Bhiri, le dirigeant du parti islamiste Ennahdha, ce matin, vendredi 31 décembre 2021, et sa mise en résidence surveillée, à la caserne de la Garde nationale à Laouina, au nord de Tunis, suscite de nombreuses interrogations, même si elle n’a pas été, à proprement parler, une surprise pour ceux qui savent que...
Tunisie : Kaïs Saïed doit calmer les plus enragés parmi ses partisans
On constate de plus en plus que celui qui s’oppose à Kaïs Saïed devient, au regard de certains des partisans du président de la république qui l’idolâtrent comme un Dieu, quasiment un sous-homme dépourvu de tout droit et surtout de celui de s’exprimer librement. Par voie de conséquence, il se doit de subir la diffamation...
Tunisie : les «petites guerres» Kaïs Saïed et le naufrage de la nation
Le président de la république Kaïs Saïed continue de se plaindre de la justice qui, selon lui, rechigne à jouer son rôle dans l’assainissement de la situation politique dans le pays, et ce en jugeant avec la célérité et la rigueur requises les personnes soupçonnées de corruption et autres malversations. Et la justice, à travers...
Tunisie : Le 25-Juillet a sonné glas du Conseil supérieur de la magistrature
Exploitant le vide institutionnel créé par ses «mesures exceptionnelles», le président Kaïs Saïed s’est arrogé le droit d’interpréter la constitution selon ses humeurs et déclarer «La constitution c’est moi». Il a abrogé aussi la constitution par édit présidentiel en déclarant également «l’Etat c’est moi». Par Mounir Chebil *
Mohamed Abbou : «Dans son combat contre la corruption, Saïed se défausse sur la justice»
Mohamed Abbou a appelé le président Kais Saied à mettre fin aux «mesures exceptionnelles» prévues par l’article 80 de la Constitution, à retourner à la Constitution de 2014, sans revenir au parlement dont les travaux ont gelés, et à organiser des élections législatives anticipées.
Raoudha Karafi : «Oui à la réforme de la justice, non à la dissolution du CSM»
Dans une déclaration accordée à Shems FM, ce mercredi 15 décembre 2021, la présidente d’honneur de l’Association des magistrats tunisiens (AMT), Raoudha Karafi, a affirmé qu’il est nécessaire de réformer la justice.
Anas Hmaïdi répond à Kaïs Saïed : «Celui qui considère la magistrature comme une fonction cherche à mettre la main dessus»
Le juge et président de l’Association des magistrats tunisiens (AMT), Anas Hmaïdi, n’a pas du tout apprécié la déclaration du président de la république, Kaïs Saïed, selon laquelle «le pouvoir judiciaire est une fonction au sein de l’État».
Tunisie : de quoi sera fait l’après-Kaïs Saïed ?
La gouvernance hautaine, autiste, solitaire, improbable et incompétente de Kaïs Saïed, un président qui a du mal à saisir ce que les Tunisiens attendent réellement de lui, à savoir les aider à sortir de l’ornière de la crise où ils se morfondent depuis 2011, fait peser sur la Tunisie le spectre d’un après-Saïed que l’on...