Dans cette seconde partie, nous tenterons de situer le partenariat de Deauville proposé à la Tunisie par le G8 au lendemain de la révolution de 2011 dans le contexte évolutif des relations entre les deux rives qui, dès l’aube de l’indépendance, obéit à une logique d’insertion de la région dans la globalisation par son rattachement...
Étiquette : partenariat de Deauville
L’indépendance tunisienne confisquée par la mondialisation économique
La reprise en main occidentale des affaires du monde a donné un coup d’arrêt aux velléités indépendantistes des pays du tiers-monde, dont la Tunisie, et leurs aspirations à un nouvel ordre mondial plus juste et plus équilibré. Par Ahmed Ben Mustapha *
La Méditerranée devra figurer à l’agenda du renouveau européen
La Méditerranée doit figurer parmi les priorités d’une relance du projet européen par la formulation d’une offre de stabilisation politique régionale. Par Henry Marty-Gauquié *
Lettre ouverte à François Gouyette, ex-ambassadeur de France en Tunisie
Le président Caïd Essebsi exprime à l’ambassadeur Gouyette la solidarité de la Tunisie avec la France après l’attentat de Nice. La France, le G7 et l’UE n’ont pas aidé la Tunisie à préserver sa stabilité politique et économique. Ils l’ont plutôt enfoncée dans le surendettement et la dépendance financière. Par Ahmed Ben Mustapha *
Le Brexit, la Méditerranée et le projet européen
La sortie annoncée de la Grande-Bretagne de l’Union européenne appelle à une nouvelle approche de la construction européenne et euro-méditerranéenne. Par Henry Marty-Gauquié *
Les engagements non tenus du partenariat de Deauville (2e partie)
L’échec du partenariat de Deauville s’explique par l’incapacité du G7 et de l’Union européenne à développer une vision équilibrée de leurs relations avec les pays sud-méditerranéens. Par Ahmed Ben Mustapha *
Les engagements non tenus du partenariat de Deauville
Sommet du G8, les 26 et 27 mai 2011, à Deauville, France. Les engagements du G7 dans le cadre du partenariat de Deauville, notamment vis-à-vis de la Tunisie, sont demeurés sans lendemain. Par Ahmed Ben Mustapha *