L’exposition «100 ans d’amertume et un poisson d’espoir» de Souhir Hosni nous apprend qu’il ne suffit pas de maîtriser les formes : il faut habiter les fractures.
L’exposition «100 ans d’amertume et un poisson d’espoir» de Souhir Hosni nous apprend qu’il ne suffit pas de maîtriser les formes : il faut habiter les fractures.