C’est le milliardaire américain George Soros qui a financé l’opération médiatique des Panama Papers, affirment nos confrères de ‘‘Boulevard Voltaire’’.
L’auteur de l’article se pose des questions sur les vraies raisons qui ont poussé une association américaine à fuiter les documents en provenance du cabinet panaméen Mossack Fonseca, et à dénoncer un grand nombre de personnalités célèbres comme fraudeurs fiscaux.
«On nous raconte que des centaines de journalistes de tous les pays auraient collaboré à l’étude de ces documents, tout cela sous l’égide d’une association américaine ‘‘bien propre sur elle’’, la ICIJ – The International Consortium of Investigative Journalists. Et pour nous faire gober l’importance de l’histoire, on nous chante qu’il faudrait trente ans pour ‘‘éplucher’’ tous ces documents», écrit notre confrère Hildegard von Hessen am Rhein, qui surnomme ironiquement George Soros le «grand promoteur du nouvel ordre mondial».
Le journaliste de ‘‘Boulevard Voltaire’’ s’interroge aussi sur la crédibilité de la plupart des journaux qui ont titré leurs «Unes» avec le nom et le portrait du président Poutine.
«Ce qui m’a fait dresser l’oreille sont les ‘‘unes’’ de ces journaux. Vous l’aurez remarqué comme moi, le portrait du président Poutine est partout. Une aubaine pour tous les poutinophobes mondialisés ! Il est dans le coup ! On vous l’avait bien dit que ce mec est infréquentable ! Pensez : grâce à lui, l’armée de Bachar a pu reprendre Palmyre. La goutte qui fait déborder le vase de Washington ! Le doute commence à m’envahir. Animée par ma bienveillance connue pour le président des Russes, je me pose la question: mais qui est donc derrière toute cette affaire?», s’interroge l’auteur en rappelant aux citoyens du monde «des coups montés par des gouvernements pour couvrir des actions peu avouables, mais pour lesquelles une ‘‘couverture’’ est indispensable pour persuader l’opinion publique.»
Pour finir, l’auteur s’interroge sur la source de financement de cette «false flag attack» appelée ‘‘Panama Papers’’ ? La Open Society Foundation du bienfaiteur de l’humanité, grand promoteur du nouvel ordre mondial, George Soros, dont on imagine le degré d’honnêteté et de désintéressement.
L’opération sent une odeur nauséabonde de manipulation globale où des journalistes, se prenant pour de grands investigateurs devant l’Eternel, se sont mis à copier des listes de noms et à les recouper en se donnant l’illusion de révéler des scoops. On n’est pas loin du ridicule, surtout quand on sait que de grands journaux – qui n’ont plus rien de grand aujourd’hui, puisque la plupart dépendent aujourd’hui de George Soros et de ses amis milliardaires –ont plongé dedans, la tête en premier. Aie !
Z. A.
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