La première phase du projet de plateforme de dépôt des plaintes et de dénonciation des cas de corruption vient d’être achevée.
Ce projet, qui est financé par l’Agence coréenne de coopération internationale (Koika) avec un don d’une valeur de 5 millions de dollars (11 millions de dinars tunisiens, MDT), a démarré au début de l’année en cours. Sa deuxième phase doit démarrer début octobre prochain.
Une séance de travail a eu lieu mardi entre le ministre de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption, Kamel Ayadi, et le groupe du travail sud-coréen en charge du pilotage de ce projet, a indiqué le ministère dans un communiqué publié mardi, ajoutant que cette réunion a permis de prendre connaissance de l’état d’avancement de la réalisation de cette plate-forme qui «devrait connecter le bureau des relations avec le citoyen et l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLCC) au système de dépôt des plaintes et de dénonciation des cas de corruption», indique le communiqué.
La réunion de la Commission mixte tuniso-coréenne, prévue pour la mi-août à Séoul, va plancher sur l’intégration de nouveaux programmes de coopération en matière d’administration électronique.
Le projet de création d’une plateforme de dépôt de plaintes et de dénonciation des cas de corruption est financé.
I. B. (avec Tap).
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