Le corps de Safouene, fils d’un couple de policiers, tué le 26 juin 2017, à Dubosville (sud de Tunis), ne porte pas de trace de violence.
C’est ce qu’a indiqué un communiqué du ministère de l’Intérieur publié, vendredi 30 juin 2017, en précisant que le rapport du médecin légiste de l’hôpital de Charles-Nicolle de Tunis a indiqué que l’adolescent de 16 ans n’avait pas été poignardé, comme cela a été relayé par les médias.
Le corps du défunt porte seulement des traces de blessures causées par l’impact d’une chute sur le sol, précise le communiqué, ajoutant que le médecin légiste n’a pas trouvé, non plus, de trace ADN d’une autre personne pouvant être un agresseur présumé ou un indice laissant penser que le corps de la victime a été en contact avec le corps d’une autre personne.
L’enquête est toujours en cours.
E. B. A.
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