La femme entrepreneuse tunisienne serait la mieux qualifiée pour gérer et faire rebondir l’économie nationale qui peine à se relever depuis plusieurs années.
C’est ce qu’a assuré Leila Belkhiria Jaber, fraîchement élue à la tête de la Chambre nationale des femmes des chefs d’entreprises (CNFCE), relevant de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), dans une déclaration à « Expresso » sur Express FM, aujourd’hui, lundi 25 décembre 2017, en précisant qu’en Tunisie, il y aurait entre 14 et 15.000 micro-entreprises fondées par des femmes, et ce malgré les nombreuses difficultés rencontrées.
«Les femmes n’ont pas la formation adéquate pour présenter un business plan. Elles rencontrent même des difficultés sur le plan financier», a-t-elle expliqué, mais cela ne semble pas les empêcher de tenter l’aventure de l’entrepreneuriat et souvent avec succès. Car elles sont travailleuses, ambitieuses et mettent beaucoup de cœur à l’ouvrage.
E. B. A.
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