Violemment battu par des inconnus, il y a quelques semaines, à Gabès, Ezer Souih a rendu l’âme le 19 mai 2018. Ses proches appellent la justice à prononcer la peine maximale contre les tueurs… non encore identifiés.
La police dispose encore de peu d’éléments sur les circonstances de ce meurtre. Ce que l’on sait, en revanche, c’est que les tueurs ont voulu masquer leur acte en accident de la route.
Selon Mohamed, un ami du défunt, les tueurs ont jeté Ezer au bord de la route et l’ont écrasé, après l’avoir violemment battu, et ce pour faire croire à un accident de la route. Mais les traces de coups et blessures ont été observées par les médecins et la piste du crime est privilégiée.
Depuis la découverte du drame, l’enquête piétine et rien n’a encore permis de connaître les motifs du crime et d’identifier ses auteurs.
Les proches d’Ezer craignent que l’enquête soit bouclée sans que l’on retrouve les criminels.
Y. N.
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