«Je ne refuse aucune invitation à me produire en Tunisie et il m’arrive de tout annuler pour réponde à l’appel de mon pays.» C’est avec ces mots que Latifa Arfaoui a décrit les sentiments intenses d’appartenance à sa terre natale lors de la conférence de presse organisée lundi 15 juillet 2019, au Théâtre des Jeunes Créateurs, à la Cité de la culture de Tunis.
La diva tunisienne était venue parler de son spectacle programmé pour le vendredi 19 juillet, au théâtre romain de Carthage, dans le cadre de la 55e édition du Festival international de Carthage.
Au cours de cette conférence de presse à laquelle plusieurs représentants des médias tunisiens et arabe ont pris part, Latifa Arfaoui a répondu avec une grande sincérité à toutes les questions qui lui ont été posées dont certaines étaient en rapport avec sa vie personnelle.
Chaleureuse comme toujours, elle a longuement parlé de cette soirée qu’elle a décrit comme exceptionnelle, soulignant à cet égard qu’elle va chanter plusieurs chansons de son ancien répertoire mais aussi plusieurs autres tirées de ses nouveaux albums, tout en précisant qu’elle réserve deux grandes surprises à son public adoré.
La chanteuse s’est réjouie des interventions des journalistes présents qui lui ont même suggéré de chanter au cours de cette soirée les premières chansons ayant fait sa notoriété, des suggestions qu’elle a promis d’ajouter au programme de la soirée.
Latifa Arfaoui sera accompagnée par l’Orchestre national de musique sous la direction du maestro Mohamed Lassoued qui était présent à cette conférence.
Notre artiste a réitéré à cette occasion sa détermination à assurer une soirée d’exception en offrant à son public des titres issus de ses quatre albums produits durant les neuf dernières années en précisant qu’elle ne privera pas ses fidèles de ses anciens tubes dont ‘‘Hobbek Hadi’’, ‘‘Baheb Fi Gharamek’’…
En réponse à une question se rapportant à sa consécration au BIAF dans sa 10 édition, Latifa Afaoui a fait savoir qu’elle doit beaucoup au Liban et aux journalistes libanais qui l’adorent et la considèrent comme la fille gâtée du Liban tout en offrant ce prestigieux prix au public de Carthage.
Source : communiqué.
Donnez votre avis