Dans ce guide sur le trading social et le trading de copies, vous trouverez divers conseils et astuces, ainsi que des informations importantes sur les fournisseurs solides et dangereux. Mais d’abord, qu’est-ce que le trading social ou le trading de copie ?
Avant d’entrer dans les détails, nous commençons par une courte définition de la copie et du Trading social.
Le Social Trading est une forme d’investissement où vous (en tant que «suiveur») pouvez consulter, discuter et copier les stratégies d’investissement ou les portefeuilles des autres membres d’un réseau social.
Ainsi, dans le trading social, les «commerçants» et les «adeptes» se rencontrent. L’idée est que les débutants peuvent suivre un commerçant professionnel grâce à ces informations.
Comment fonctionne le Social Trading ou le Copy Trading ?
Avec le Social Trading, les investisseurs peuvent suivre un investisseur ou un commerçant. Soit passivement, en ne regardant et en commentant que les activités commerciales, soit activement, en tirant immédiatement profit des transactions qui sont «copiées» sur leur propre compte commercial.
De nombreux débutants en trading sont confrontés à la question dès le début : Echangez-vous ou laissez-vous échanger ? Théoriquement, il est juste de suivre un professionnel ou de le laisser travailler pour vous. C’est ce que nous faisons lorsque nous construisons une maison, donnons des conseils juridiques, consultons un médecin, etc. Mais que faire si le professionnel n’est pas du tout un professionnel ? Comment reconnaître ce qu’il peut (ne peut pas) faire ?
En particulier dans le domaine des opérations boursières, il est conseillé de considérer une simple règle empirique pour toutes les décisions d’investissement : «Plus le rendement (promis) est élevé, plus il faut prendre de risques».
En d’autres termes, si vous voulez un rendement de 100%, vous devez également vous attendre à une perte de 100%.
Malheureusement, les débutants ne peuvent pas vraiment évaluer le rapport risque/rendement au début et recherchent donc des traders qui ont obtenu le meilleur rendement possible en peu de temps.
Il est ici beaucoup plus intelligent de vérifier le rendement obtenu par un (day) trader sur une longue période d’au moins 6 mois. Les pertes devraient être faibles. Toutefois, je m’étendrai plus en détail sur ce point ci-dessous. Pour les investisseurs en actions classiques, il aurait fallu envisager différentes phases du marché. Dans les marchés haussiers, presque tous réussissent. Mais la paille n’est séparée du blé que sur le marché baissier, car on peut alors voir les compétences de l’investisseur en matière de couverture et à quel point le portefeuille est (dé)calme.
Quelles sont les plateformes de trading social ?
Comme le Social Trading a pris son essor parallèlement aux médias sociaux classiques et existe donc depuis quelques années déjà, nous pouvons déjà enregistrer quelques expériences concernant les fournisseurs et la scène.
Comme pour la scène de la cryptographie, le marché s’est quelque peu aminci, comme d’habitude après un boom.
Dans cette section, nous allons présenter brièvement les vendeurs les plus courants, outre ces fournisseurs bien connus, il existe également divers courtiers en CFD, tels qu’OctaFX ou la société Metaquotes (Metatrader), qui proposent des services de trading social et de copy trading mais aussi IqOption, 24 Option et d’autres. Retrouvez un guide détaillés des offres sur le marché sur Droitdunet.fr.
Nous commençons par les fournisseurs probablement les plus connus de plateformes sociales de trading :
● eToro – Un des fournisseurs de trading social et courtier en CFD les plus populaires, basé à Chypre et en Israël.
● BDSwiss – Aussi l’un des plus grands fournisseurs de trading social. Une entreprise Suisse. Ici, les suiveurs peuvent acheter des certificats d’indice (titres) pour participer au portefeuille du trader.
● Zulu Trade – Une société des États-Unis qui, selon ses propres informations, compte plus de 100 000 commerçants d’environ 200 pays. Zulutrade permet d’intégrer différents courtiers pour copier des transactions.
● Naga Trader – Une société basée à Chypre qui se spécialise dans le trading social via l’application et qui est souvent utilisée par les jeunes investisseurs.
● Bux – La société néerlandaise est également spécialisée dans le trading via App. Outre la négociation de CFD, la négociation d’actions classiques est également possible ici, actuellement sans frais de transaction.
Dans quels investissements peut-on investir avec le Copy Trading (actions, devises, etc.) ?
Le spectre des investissements dans le trading social est très large, les actions, les matières premières, les devises (Forex), etc.
Les négociants qui travaillent avec des produits dérivés tels que les CFD sont souvent des day traders et négocient donc plusieurs fois par jour ou par semaine. En outre, ils travaillent avec un effet de levier, ce qui peut accroître à la fois le risque et l’opportunité, car les négociants et les suiveurs peuvent accéder non seulement à leur capital investi, mais aussi au capital emprunté auprès du courtier et ainsi augmenter le volume des transactions.
Mais il y a aussi la possibilité de suivre un investisseur de valeur classique à la Warren Buffet. Ici, les portefeuilles d’actions sont ensuite constitués et reproduits à l’aide de certificats, que l’adepte peut acheter et gérer sur son propre compte de titres. Le certificat reproduit ainsi l’évolution du portefeuille d’actions du commerçant et peut être acheté via un numéro d’identification de titre distinct.
Cela vaut-il la peine de copier le Top Trader ?
L’idée de copier des commerçants prospères et de pouvoir ainsi les suivre facilement sans avoir à l’apprendre et à l’appliquer soi-même semble tentante.
Mais une idée ne vaut rien tant que quelqu’un ne la met pas en œuvre.
En 2020, le Copy Trading, ou trading social, n’est plus seulement une idée, mais une pratique courante. Pour les commerçants expérimentés et ceux qui préfèrent transférer la responsabilité et espérer de l’argent rapide, il s’agit d’un concept intéressant, que nous allons explorer en détail dans cet article.
Les inconvénients du Trading Online
Tout d’abord, il est un fait qu’environ 90% de tous les commerçants perdent de l’argent de façon permanente. Oui aussi et surtout les commerçants sur les plateformes sociales de trading. De même, de nombreux fournisseurs, en particulier les courtiers en CFD, ne vérifient pas l’aptitude des négociants. Beaucoup peuvent s’y inscrire en 5 minutes et commencer à tradinger.
En outre, les commerçants sont souvent présentés comme des «professionnels» ou bien représentés dans les classements, qui ont obtenu un rendement élevé en peu de temps. Mais si vous vous souvenez de la règle empirique mentionnée ci-dessus, alors vous savez ce qu’il faut penser d’un commerçant qui a généré 273% de rendement en 4 semaines. Exactement, rien du tout, car il va probablement bientôt tomber.
Un bon trader ne reste pas longtemps un trader de copies. Pourquoi ?
Parce qu’il peut gagner plus d’argent dans le monde «réel» de la bourse, sans ennuyer les adeptes qui veulent se faire expliquer chaque transaction (à perte).
Ainsi, si vous pouvez prouver que votre bilan est positif sur plusieurs années, vous obtiendrez généralement de meilleurs résultats si vous rejoignez un fonds spéculatif ou une société de trading d’actions. Parce qu’il peut y échanger des comptes à 7 chiffres en temps voulu et rencontrer des commerçants de même sensibilité ou d’élite dont il peut bénéficier à son tour.
Le pauvre adepte doit à nouveau regarder autour de lui après un bon moment et espérer qu’il a misé sur le bon cheval. Jusque-là, il n’a rien appris ou pas grand-chose. Il reste dépendant.
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