L’intouchable agitateur Tarek Haddad, chef de file des séditieux d’El-Kamour, à Tataouine, qui font de la politique et dont les prétendues revendications sociales ne sont qu’un faux-prétexte pour paralyser la production pétrolière et gazière afin de faire fuir les compagnies pétroliers occidentales, n’a rien d’un pauvre chômeur désœuvré. C’est un dangereux activiste politique au service d’intérêts étrangers.
Par Imed Bahri
L’activiste et sa smala sont triplement dans l’illégalité, en s’introduisant dans une zone militaire, en paralysant la production pétrolière et enfin en menaçant l’Etat et en défiant ses institutions.
Ici, sur cette photo, il arbore un T-shirt que tous les ados branchés du Grand-Tunis arborent avec le fameux «En mode flemmard» mais avec l’agitateur Tarek Haddad, c’est tout le pays qui est mis en mode flemmard. Ce cynique et irresponsable, qui assume la posture d’ennemi de l’Etat et qui y voit même une forme d’héroïsme paralyse avec ses camarades la production pétrolière et gazière dans le sud tunisien. L’objectif de cette guerre d’usure livrée à l’Etat tunisien est clair et net: le ruiner et faire fuir les compagnies occidentales et les remplacer par celles Qataris et Turques. Ils savent que leurs prétendues revendications sociales sont irréalisables et c’est pour cela qu’ils les maintiennent, le but étant d’user davantage l’Etat, de souligner avantage son impuissance et de paralyser le secteur énergétique dans le sud.
Ne se contentant pas de s’introduire illégalement dans une zone militaire interdite d’accès, de paralyser la production pétrolière (ce qui relève du pénal), ils menacent de mettre le pays sens dessus-dessous («niqlbou liblèd», disent-ils) si un cheveu de l’un des leurs est touché.
Jusqu’à quand ces bandits intouchables continueront-ils à défier tout un pays, son Etat et son peuple ? Peut-être quand Kaïs Saïed achèvera ses relectures de la poésie d’Ilya Abou Madhi et de la prose de Taha Husseïn, activité plus urgente et plus importante aux yeux du «Oustadh» que de veiller à éviter la déliquescence de l’Etat et la ruine du pays.
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