Populisme, francophobie et guerre contre les médias ne sont pas uniquement les thèmes récurrents de la coalition islamo-populiste Al-Karama mais aussi de son arme de destruction massive contre l’Etat tunsien, les dangereux hors-la-loi d’El-Kamour qui exécutent l’agenda de l’Axe Ankara-Doha et avec qui Hichem Mechichi et son gouvernement négocient ou plus précisément se font racketter.
Ces hors-la-loi – derrière qui se cache le dangereux islamiste Saïd Chebli, accusé du meurtre de Lotfi Nagdh en octobre 2012 – qui jouent aux protestataires, plus personne ne croit leurs prétendues revendications sociales. En fait, ils maquillent leurs actions de déstabilisation du sud du pays et utilisent leur page Facebook pour désinformer l’opinion publique, la manipuler et la biberonner de haine contre la France et contre les médias.
C’est on ne peut plus clair, en sabotant la production et la distribution du pétrole et du gaz dans le gouvernorat de Tataouine depuis le 16 juillet 2020, ces dangereux hors-la-loi politisés exécutent l’agenda politique des islamistes dans le sud tunisien et il est tout à fait possible de voir l’agitateur Tarek Haddad, porte-parole de mouvement de désobéissance civile, siéger sous la coupole de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), au Bardo, lors de la prochaine législature où il sera à l’aise chez ses amis de la coalition islamo-populiste Al-Karama.
Voici, par ailleurs, la traduction française du post publié par la page facebook de la Coordination El-Kamour pour dénoncer la campagne menée en France contre le terrorisme islamiste en réaction à la décapitation en pleine rue, à Paris, d’un enseignant, par un terroriste islamiste de 18 ans : «#Tout sauf le messager d’#Allah. Où sont les partis qui dénoncent ? Où sont les médias de la honte ? Où sont les voix serviles ? Vous ne réagissez pas à ces mascarades ? Pourquoi vous ne sortez pas des communiqués (de dénonciation, Ndlr) ou bien avez-vous peur comme d’habitude… malgré la liberté d’expression. Dieu, priez pour le plus noble des créatures sur terre, #Mohammed!»
Ce post justifie le terrorisme, mais le ministère public est, comme toujours, aux abonnés absents dès qu’il s’agit des… islamistes, qui ont droit, eux, à un traitement spécial.
I. B.
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