Le mouvement El-Kamour a annoncé l’arrestation de plusieurs de ses membres alors que d’autres font l’objet de mandats d’amener, émis par le juge d’instruction près le tribunal militaire permanent de première instance de Sfax
Dans un post publié sur sa page Facebook, le mouvement controversé rapporte que 20 parmi ses membres ont à faire avec la justice, en précisant que les accusations dont font l’objet des jeunes originaire de la délégation de Smar à Tatatouine, sont «très graves».
«Non à aux procès militaires pour des civils!», ajoute le mouvement El-Kamour, qui n’a pas précisé les accusations en question, sachant que ces affaires sont probablement liées à l’incident du 11 février dernier lorsqu’ils avaient tenté de forcer un barrage d’une patrouille militaire, pour fermer une vanne de pompage de pétrole à El-Kamour, avant d’en être empêchés.
Suite à ces incidents, le porte-parole du mouvement, Tarek Haddad avait insulté et menacé les soldats, ce qui lui a valu une plainte déposée à son encontre, le 14 février, par l’Association tunisienne des militaires retraités.
Y. N.
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