A partir du 20 mars 2022, la Tunisie s’oriente vers la refonte de son système politique. La rédaction d’un nouveau texte constitutionnel et l’organisation d’un référendum le 25 juillet permettrait l’instauration de la troisième république et l’organisation d’élections dont la date a été fixée au 17 décembre. Quelles sont donc les conditions objectives pour instaurer un système politique démocratique qui puisse garantir l’état de droit et protéger les libertés ?
Afin de répondre à cette question et d’ouvrir un débat sérieux et serein entre les forces démocratiques à savoir (organisations nationales, associations, partis et personnalités politiques), le collectif citoyen Soumoud organise, en collaboration avec l’Union nationale de la femme tunisienne, La Fondation euro-méditerranéenne de soutien aux défenseurs des droits de l’homme et la Fondation Friedrich Ebert, une conférence nationale intitulée : «Quel système politique pour la Tunisie après le 25 juillet? Les conditions objectives pour instaurer un système politique démocratique qui garantit l’état de droit et protège les libertés.»
La conférence est prévue pour le mardi mardi 15 mars, à partir de 9h du matin à l’hôtel Golden Tulip El Mechtel, à Tunis, et on annonce la participation, autour de Houssem Hammi, coordinateur du collectif Soumoud, et de Radhia Jerbi, présidentes de l’UNFT, de plusieurs personnalités des mondes universitaires et politiques, notamment le Pr Lotfi Larguet, le doyen Sadok Belaid, le Pr Amin Mahfoudh, Kamel Jendoubi, ex-président de l’Isie, Hatem Mliki, ancien député, et Raja Jabri, coordinatrice du réseau Mourakiboun.
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