Selon le comité de défense des politiciens assassinés en 2013, Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, le traitement du dossier de l’assassinat de ce dernier a été entravé, entre autres, en raison du refus du ministère de l’Intérieur de mettre en œuvre les 17 actes préparatoires.
C’est ce qu’a déclaré le membre dudit comité, Koutheir Bouallegue, ce mercredi 1er juin 2022, lors d’une conférence de presse.
Faisant porter la responsabilité du retard engendré dans le traitement de l’affaire au ministre de l’Intérieur Taoufik Charfeddine, M. Bouallègue a ajouté que le comité compte saisir la justice à cet effet.
C. B. Y.
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