Selon Samir Cheffi, secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), estime que la situation de la Régie nationale des tabacs et des allumettes (RNTA) «n’est pas aussi catastrophique qu’on le prétend», mais qu’elle souffre d’une gouvernance faible et d’un manque d’attention de la part de l’État.
Intervenu, ce jeudi 10 novembre 2022, sur Shems FM, il a révélé que la régie avait réalisé des revenus de plus de 2.200 milliards de dinars, ajoutant qu’il est nécessaire de la restructurer et de mettre en place de véritables programmes de réforme.
Il a, par ailleurs, rappelé que la centrale syndicale est contre sa privatisation, ainsi que «l’assassinat du secteur public au profit des courtiers».
C. B. Y.
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