La Chambre criminelle spécialisée dans l’examen des affaires de corruption financière près le tribunal de première instance de Tunis a rejeté les demandes de libération du dirigeant Ennahdha Abdelkrim Harouni et de l’homme d’affaires Mohamed Frikha.
Cette décision a également concerné deux cadres d’une société nationale pétrolière actuellement en détention, sachant que le procès a été reporté pour le mois prochain.
On notera que cette affaire concerne des soupçons de corruption financière et administrative dans des transactions effectuées entre une entreprise dirigée par Mohamed Frikha et une société pétrolière publique. Les suspects sont donc poursuivis pour suspicion de corruption.
Y. N.



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