Tarek Baouab, ancien attaché de presse au ministère de la Culture, nous a quittés le mardi 6 juin 2017, à 56 ans. L’un de ses anciens collègues lui rend, ici, un dernier hommage.
Tu nous quittes subitement, sans avertir, sur la pointe des pieds… En partant ainsi furtivement vers un autre monde, je présume que tu ne voulais pas causer trop de peine à ceux qui t’aiment et qui se résignent très difficilement à croire en ton départ précipité.
Aujourd’hui, un ami cher nous a quittés, et la scène culturelle et journalistique a perdu avec son départ, une personne de grande qualité.
J’ai eu la chance de connaître Tarek Baouab au milieu des années 80 au temps où il était attaché au cabinet du ministre de l’Education et j’avais rapidement et avant tout découvert ses grandes qualités humaines : sa droiture, sa gentillesse et son affabilité, avant de découvrir tout au long de notre parcours commun au ministère de la Culture par la suite, sa grande valeur professionnelle, sa compétence, son dévouement, sa disponibilité et sa capacité à bien communiquer avec le monde des médias journalistes avec tact et toujours avec confiance et respect.
Vivant, tu n’étais pas capable de faire mal à personne, même pas à ceux qui ne te rendaient pas ta gentillesse. Mais en nous quittant si précipitamment, et quand bien même tu ne l’as pas choisi, tu laisses à tous tes amis une peine qui ne sera pas vite surmontées.
Repose en paix Tarek. Tu étais méritant et nous t’avions beaucoup aimé. Allah yarhmek.
Boubaker Ben Fraj
Donnez votre avis