La demande de libération de l’homme d’affaires Chafik Jarraya, déposée par son comité de défense, a été rejetée, aujourd’hui, lundi 21 octobre 2019, par la chambre pénale spécialisée dans l’examen des affaires de corruption financière.
La chambre a commencé aujourd’hui l’examen de l’affaire de falsification de contrats de propriété immobilière d’une société confisquée après la révolution, qui appartenait à Ramzi Trabelsi, l’un des membres de la belle famille de l’ancien président de la République, déchu en 2011, feu Zine El Abidine Ben Ali. Une affaire dans laquelle sont impliqués, outre M. Jarraya, 3 employés au sein de la mairie de la Marsa.
Notons que le principal intéressé, Chafik Jarraya, a été transféré au tribunal, mais qu’il a refusé de comparaître devant le juge.
D’autre part, le tribunal a annoncé que la décision relative à cette affaire aura lieu au mois de novembre prochain.
C. B. Y.
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