L’agent Wajdi Akaknia a été agressé avec une barre de fer, mardi 24 janvier 2017, à Gafsa, par 2 inconnus.
Catégorie : SOCIETE
Terrorisme: Mohamed Ali, revenu de Syrie, arrêté à Kasserine
La police a arrêté, aujourd’hui, à Kasserine, Mohamed Ali K., âgé de 32 ans, un présumé terroriste revenu, en décembre 2016, de Syrie.
Sousse : Le meurtrier d’Afif Chebil condamné à la peine de mort
Achref Mabrouk, qui a assassiné, le 2 septembre 2014, son ami, l’étudiant Afif Chebil, a été condamné à la peine capitale.
Le policier blessé dans l’accident de Siliana s’en sort
Feus Chawki Dejbi et Abdelaziz Arfaoui. Le policier blessé, hier, dans un accident à Doukhania, à El-Krib (Siliana), est dans un état stable. Ses collègues décédés seront enterrés aujourd’hui.
Terrorisme : Annoncé mort par les médias, Abou Iyadh serait encore en vie
A gauche, l’homme abattu hier, à droite Abou Iyadh. L’homme abattu, hier, en Libye, présenté comme étant le Tunisien Seifallah Ben Hassine (alias Abou Iyadh), serait le Libyen Abdelkader Abou Jerad.
Sidi Bouzid : Une élève de 9 ans retrouvée pendue
Une fillette de 9 ans a été découverte pendue, hier, au garage du domicile familial, situé dans la délégation d’Ouled Haffouz à Sidi Bouzid.
Attentat de Sousse: Le mentor de Rezgui émargeait sur le contribuable britannique
Un imam soupçonné d’avoir influencé l’auteur de l’attentat de Sousse a obtenu une assistance financière du gouvernement de Grande-Bretagne. Par Marwan Chahla
Attentat de Sousse: Une victime identifiée grâce à son vernis à ongles
Trudy Jones, une des 30 victimes britanniques de l’attentat de Sousse, atteinte par 2 balles, a été identifiée grâce à son… vernis à ongles flashy.
Terrorisme : Abou Iyadh annoncé mort par les médias libyens
Le chef de l’organisation terroriste tunisienne Ansar Charia, Abou Iyadh, aurait été abattu, aujourd’hui, lundi 23 janvier 2017, par l’armée libyenne.
Métro : Dispositif pour empêcher les jeunes de voyager entre les rames
Après de nombreux accidents mortels, la Transtu a installé un dispositif métallique entre les rames du métro, afin d’empêcher les jeunes de s’y installer et de mettre leur vie en danger.