Il était pourtant facile de ne pas se tromper sur Ennahdha

Les dirigeants politiques dits démocrates et progressistes, qui se sont alliés avec les islamistes d’Ennahdha au cours des neuf dernières années, savaient pourtant tous à qui ils avaient affaire. Mais ils se sont tous laissé berner et piéger, sciemment, et firent perdre à la Tunisie et aux Tunisiens autant d’années marquées par l’immobilisme et déliquescence généralisée. Par Chokri Fendri *

Recrutement des chômeurs de longue date dans le secteur public : Fakhfakh répond à la proposition de certains parlementaires

La proposition de loi visant à mettre en place des mesures exceptionnelles pour le recrutement dans le secteur public, déposée par 35 députés du bloc Ennahdha et d’autres groupes parlementaires, est anticonstitutionnelle, selon le chef du gouvernement démissionnaire et chargé d’expédier les affaires courantes, Elyes Fakhfakh. Par Cherif Ben Younès

Le rôle des jeunes dans la lutte contre la corruption

En raison de l’expansion de la corruption, fléau qui ronge notre société, il serait utile voire judicieux de réaliser, dès le plus jeune âge, des «swot analysis» et des ateliers de brainstorming avec des élèves. L’objectif de ces ateliers serait une sensibilisation sur les méfaits et les conséquences de la corruption qui se dissémine et surtout s’instrumentalise au sein de notre société. Par Ridha Jaber *

Le Cercle Kheireddine pour un gouvernement de compétences indépendantes

La vocation du Cercle Kheireddine est de penser l’avenir et d’analyser les politiques et les stratégies qui s’offrent à la Tunisie. Ses membres ne commentent que très rarement et très exceptionnellement l’actualité. Mais la situation du pays les conduit à prendre la parole en toute responsabilité pour alerter l’opinion publique et l’ensemble des acteurs politiques sur l’éminence d’une crise qui risque d’emporter les quelques acquis démocratiques. D’où cet appel de son comité d’orientation stratégique pour sauver la Tunisie.

In memoriam : Ali Lajnef, un militant dévoué dans ses engagements

Ali Lajnef, mon camarade, mon ami, mon frère, nous a quittés suite à des coups violents qui lui auraient été assénés sur la tête, par derrière, selon certains, ou suite à un accident de la circulation, selon d’autres, alors qu’il marchait seul dans une rue de Sousse, vers 16h, le 25 juillet 2020 (1). Il est resté dans le coma, avec une hémorragie cérébrale, jusqu’au matin du 27 juillet, dans le service d’urgence de l’hôpital Farhat Hached à Sousse, faute de place dans les services de réanimation. Par Mohamed Cherif Ferjani *

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