Entre fausses pistes et ballons d’essai, Ennahdha pousse ses pions

Au terme d’un demi-siècle de violence idéologique, de gros mensonges et de petites manœuvres politiciennes, les islamistes tunisiens semblent avoir imposé leur mainmise définitive sur la scène politique tunisienne qu’ils ont totalement neutralisée et mise sous leur coupe. Attention, il y a péril en la demeure ! Par Hechmi Trabelsi * Les islamistes tunisiens, alors appelés Mouvement de la Tendance Islamique (MTI) ont commencé dès la fin des années 1970 à faire parler d’eux : d’abord en tant qu’instigateurs et auteurs d’attaques terroristes (l’épisode du Comité de coordination du PSD à Bab Souika, l’attaque d’hôtels à Sousse et Monastir, alors...

Confinement ciblé : Pour Mehdi Mahjoub, la réouverture des showrooms sauvera le secteur de la concession automobile

Le porte-parole et membre du bureau exécutif de la Chambre nationale des concessionnaires automobiles (CNCA), Mehdi Mahjoub, a appelé, ce mardi 28 avril 2020,  à permettre la reprise du secteur de la concession automobile à partir du 4 mai, date de début du confinement ciblé. Sinon, les pertes financières seraient énormes.

Imed Ben Halima estime qu’Ennahdha veut «vendre le pays» à travers les projets de loi relatifs à des accords avec la Turquie et le Qatar

L’avocat et activiste politique, Imed Ben Halima, a tiré la sonnette d’alarme, hier soir, lundi 27 avril 2020, concernant les deux projets de loi relatifs à des accords avec la Turquie et le Qatar, estimant que le parti qui est derrière cette initiative, Ennahdha, veut «vendre le pays aux Frères musulmans comme l’ont fait les Ottomans en 1881 lorsqu’ils nous ont donnés aux Français».

Tunisie : Corruption et dispositifs de contrôle de l’administration

Huit gouvernements en autant d’années se sont révélés incapables d’élaborer un plan de réforme économique audacieux et une stratégie efficace de lutter contre la corruption. Même l’Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc) n’a pas réussi à mettre en place une stratégie efficace de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, alors que ce fléau continue de se développer et que son coût avoisine, selon certaines estimations, 54% du PIB de la Tunisie. Par Amine Ben Gamra *

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