Et si le FMI était plutôt l’otage du gouvernement tunisien ?

Christine Lagarde reçue par Youssef Chahed en janvier 2018.  Il est déplacé et malhonnête de pointer du doigt le FMI et de lui faire assumer la responsabilité de la crise qui prévaut en Tunisie. D’autres pays, comme la Corée du Sud et Singapour, ont su faire un bon usage des crédits du FMI et ont atteint les plus hauts stades de développement et de croissance. Par Khémaies Krimi

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