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Libye : Cameron et Sarkozy, coupables mais pas punis

Cameron-Sarkozy-Libye

C’est l’histoire de David et Nicolas, qui ont contribué à ce qu’il y ait plus de morts sous les terres de Libye, que de vivants dessus… 

Par Dr Fethi El Mekki*

Un ami, Tunisien, se baladant à Londres, il y a un mois, s’est trompé de ligne de métro et s’est retrouvé dans un quartier pakistanais. Quelle ne fut sa surprise lorsqu’en face d’une mosquée, il retrouva trois barbus, bien poilus, assis autour d’une table avec registres, tampons et pancarte sur laquelle est inscrit «For going to jihad to Syria»…

Evidemment le MI 5 et le MI 6, l’équivalent du FBI et de la CIA américains, ne sont pas derrière ce cirque, ne sont au courant de rien et n’ont rien vu…

Et lorsqu’on voit les Britanniques brailler qu’il ne faut pas visiter la Tunisie après l’«attentat» de Sousse et sommer les agences de voyages britanniques de ne pas vendre la destination Tunisie, là, sincèrement, comme c’est la saison des chaleurs, au cerveau, il y a un gigantesque coup de sirocco…

N’en déplaise à James Cameron, réalisateur des films ‘‘Titanic’’ et ‘‘Avatar’’, je suggère qu’on remplace «David» par «James» Cameron…

David Cameron, qui s’est, dit-on, fait limer les dents à Tel-Aviv, dès la maternelle, a donné des idées à Nicolas Sarkozy qui, à force de se tournebouler la cervelle pour les Libyens à Jérusalem, a remplacé Sarkozy par Pimprenelle…

Depuis «James» Cameron et Nicolas «Pimprenelle» semblent avoir oublié les Libyens à qui ils s’étaient adressés, à la Don Corleone, le 15 septembre 2011, à Tripoli et à Benghazi, il y a tous juste quatre ans, pour les féliciter de s’être comporté comme une belle au bois dormant… et d’avoir cru au baiser de la mort de nos deux princes charmants.

David et Nicolas… Joyeux anniversaire…

Bonne nuit les petits

A l’Institut des études politiques de Paris et à l’University college of London, on enseigne à l’étudiant que le crime contre l’humanité désigne une «violation délibérée et ignominieuse des droits fondamentaux d’un individu ou d’un groupe d’individu inspirés par des motifs politiques, philosophiques, raciaux et religieux». En 2015, pour que la définition soit plus cohérente, il va falloir, adjoindre les termes : pétroliers et les guerres par procuration… pour que l’étudiant ne s’y perd pas en géopolitique de la cruauté.

La notion de crime contre l’humanité est une catégorie complexe de crimes punis au niveau national et international par un ensemble de textes qui regroupent plusieurs incriminations. Ces textes, bien entendu, nous les croyons sur parole.

L’affaire libyenne donne la nausée, tant, au-delà de l’amateurisme et de la légèreté de ses acteurs, elle illustre la corruption de démocraties réduites à un cadavre dont les sionistes se disputent les reliefs dans les pénombres de la petite histoire.

Elle appartient à ces scandales qui ruinent les principes mêmes de la démocratie. Elle démontre que les conventions de Genève ne concernent que le canton de Genève, l’impossibilité de rétablir le crédit international de deux  vieilles démocraties, que les «monarchies républicaines», françaises et britanniques, se sont précipités vers le terrorisme d’Etat comme les fleuves se mêlent à la mer.

Au sommet de l’Etat, à l’Elysée et au 10 Dowing street, les grands vents se sont levés, en une foire d’empoigne sur l’or noir et le monde arabe, hanté par les spectres hébreux, qui montrent, qu’il n’y a plus de régime, une connivence crasse, de la boue sioniste et des assassins de femmes et d’enfants… Nonobstant que l’arrogance précède la ruine et l’orgueil précède la chute…

Le 20 octobre 2011, à Syrte, le convoi de Kadhafi a été bombardé par les avions de chasse des grandes civilisations étasuniennes, françaises et anglaises. Avaient-ils le droit? À priori non… Kadhafi fut rattrapé, torturé et assassiné par ses faux amis d’hier. Au préalable, ses bourreaux lui forcèrent le rectum avec le canon d’un fusil, inaugurant un nouveau rituel de mise à mort occidentale d’un chef d’Etat arabe indocile… Cette mise à mort perverse a eu lieu devant les soldats hilares du monde dit libre de David et Nicolas. C’est la démocratie et le progrès.

Cameron-Netanyahu

«En moi, vous avez un Premier ministre, dont la croyance en Israël est indestructible.»

David le perfide

Emile Levita est un banquier juif ashkénaze, qui a fui l’Allemagne en 1876, pour s’installer en Grande-Bretagne. Son arrière petit-fils n’est autre que David Cameron… Parmi les ancêtres de David figure Elie Elijah Levita (1469-1549), juif germano-italien, auteur en 1508 du ‘‘Bovo-Bukh’’, premier roman non religieux, en vieux yiddish, et surtout le principal passeur de la science linguistique hébraïque dans le monde chrétien.

Le prénom David est dérivé du prénom hébraïque Daoud. Il est tiré de l’ancien testament et renvoie au deuxième Roi d’Israël, Souverain du Royaume de Juda et d’Israël au Xe siècle avant J.-C. Et les David ont la réputation d’avoir un grand sens du devoir, et quand ils s’engagent, ils le font pleinement… Au vu des deux gouvernements libyens rivaux divisant le pays et les centaines de milices qui s’entretuent, ça on l’a bien compris.

Sitôt diplômé de l’université d’Oxford, David, dont les yeux s’ouvrent sur une innocence si parfaite, est nommé conseiller politique au sein du cabinet de Margareth Thatcher à l’âge de 22 ans… À quel titre? On n’en sait rien… A sa nomination, le 11 mai 2010, il n’avait que 43 ans… C’est le plus jeune chef de gouvernement britannique depuis 1812… Traduisons : l’expérience on s’en balance, l’essentiel, c’est j’ordonne, il exécute.

David est à priori autiste, puisqu’il répète de manière compulsive «en moi, vous avez un Premier ministre, dont la croyance en Israël est indestructible. Je serais toujours un ardent défenseur du peuple juif, un soutien à l’Etat d’Israël et je ne demeurerais jamais passif, si la communauté juive de Grande-Bretagne est menacée». A l’occasion des innombrables diners organisés par les associations britanniques de bienfaisance juive ou lors de ses nombreuses escapades à Tel-Aviv pour porter allégeance à qui on sait.

Le 12 mars 2014, en Israël, à la Knesset, des larmes dans la voix, il a débuté son discours en hébreu: «Shalom lekulom» (salut à tous)… Et d’après le journal ‘‘La Tribune Juive’’, ce discours est admirable de sincérité et de virtuosité, puisque David a estimé qu’il était inutile de discourir sur les implantations, puisqu’il a insisté sur l’étroitesse du territoire israélien, évoqué la shoah, la déclaration Balfour et… ses ancêtres juifs. Décidément.

Ce même David a annoncé, la semaine dernière, avoir pleuré devant l’image du petit Syrien Ceylan. Je vous l’avais bien dit : ce type se moque de nous.

En Tunisie, avec la perfide Albion, on est au moins sûr d’une chose : c’est l’hébergement de Ghannouchi et de sa petite troupe «religieuse» à Londres… pour le jour de la résurrection – pardon pour la «révolution» – et l’envoi de milliers de taulards tunisiens pour détruire la Libye, l’Irak et la Syrie… à la très grande satisfaction d’Israël.

Sarkozy-Peres

«Je suis l’ami d’Israël… Israël peut toujours compter sur mon amitié…»

Nicolas le cobra

Aaron Mallah est un juif séfarade de Salonique, ville grecque, qui a aussi vu naitre Mustapha Atatürk. Il a immigré en 1913 à Paris en tant que chirurgien urologue. L’un de ses petits-fils n’est autre que Nicolas Sarkozy, l’ami des stars et des tsars du printemps arabe, qui a vécu auprès de lui, jusqu’à l’âge de 17 ans. Après le décès d’Aaron, la revue ‘‘Israël-Valley’’ a relevé que «pour Nicolas c’est la déchirure, l’idéal judéo-grec n’est plus près de lui, mais aurait laissé des traces profondes dans ses valeurs», et ça on l’a bien vu.

Parmi les cousins grecs d’Aaron, on retrouve Peppo Mellah, premier ambassadeur Israélien en Grèce, et surtout Asher Mellah, premier président de la fédération sioniste de Grèce, fondateur de l’université de Technion à Haïfa, pour laquelle il émigra en 1934.

Le 28 janvier 2007, date d’anniversaire de Nicolas et quatre mois avant son entrée à l’Elysée, un timbre poste à l’effigie de celui qui pousse la France à s’aligner sur Israël a été mis en vente dans les postes israéliennes. Ce qui ne peut prêter qu’au sourire, étant donné ses fréquentes visites et les liens fusionnels, quasi-organiques, qui l’unissent à Israël. Sa proximité avec les réseaux pro-israéliens et les pro-israéliens de son entourage.

Nicolas, de par ses multiples voyages aux Etats-Unis et en Israël, a gagné le soutien des différents lobbies sionistes américains. A chaque fois, il rencontre, à huis-clos, leur gratin, les «Je suis l’ami d’Israël… Israël peut toujours compter sur mon amitié… Le dossier iranien sera ma priorité… Le droit à la sécurité d’Israël c’est important, pour moi c’est capital» sont répétés de manière maniaque, à haute voix, le visage souriant, mais pas ses yeux, à l’instar de son petit copain David… Voilà tout est dit…

C’est le seul chef d’Etat français à s’être rendu au diner du CRIF deux années de suite, en 2008 et 2009. Il a reçu une corbeille de décorations de la part de leurs  organisations. Et à Ehud Olmert, ému aux larmes, il a qualifié Israël de «miracle du XXe siècle».

Le 2 septembre 2015, Nicolas a adressé aux adhérents du parti des «Républicains», dont il est le président, un email, intitulé «mon premier engagement est celui d’une démarche de vérité (sic !)», dans lequel il critique le Parti Socialiste : leurs contradictions permanentes sont la source de tous les mensonges (re-sic !)… Une majorité sans cap minée par le mensonge (re-re-sic !)… A la place de Carla, je me méfierais de ce jeune homme.

Ma question est : Peut-on être stupide à vie ? La réponse est : mais oui, bien entendu…

Assassinat-de-Kadhafi

Kadhafi fut rattrapé, torturé et assassiné par ses faux amis d’hier.

Les marchands de la mort

Pour certains, la terreur ne consiste pas à tuer les innocents comme coupables mais à les tuer comme innocents. C’est parait-il le cas de la Shoah et de la Libye martyre.

Le génocide juif, tu et encouragé, sans état d’âme, par une bonne partie des Occidentaux, a été vécu par Emile Levita et Aaron Mellah, qui n’auraient jamais pu imaginer que leurs augustes descendants, David et Nicolas, inspirés par le pharisien et l’inhumain, confirmeront la très célèbre citation d’Aristote: la bête la plus terrible, c’est l’homme.

Il y avait, de la sincérité chez David et Nicolas, principalement quand ils préparaient une mauvaise action contre les Arabes, et quelque manque de délicatesse à tremper leurs doigts dans des opérations nauséabondes, qui aboutiront à la destruction d’un pays souverain qui ne leur à rien demandé, décision qu’ils ont prise tous seuls, nous dit-on.

David et Nicolas, méprisants, arrogants et pleins de morgue – il ne faut surtout pas se laisser berner par leurs jolies museaux, ni par leur élégance de bon ton – font partie des hommes qui connaissent le prix de chaque chose et la valeur d’aucune. Il parait que lorsqu’ils se sont rencontrés, la confiance est restée sur le seuil de la porte.

Ces deux là, endettés et assoiffés de pétrole, distillant leurs mensonges, ne trempent pas leur plume dans l’espoir, mais dans les larmes du peuple libyen. Qu’importe le flacon : de l’agresseur nos deux amis ont toutes les ivresses, toutes les apparences, toutes les poses, et tous les culots, pourvu que la maison mère soit satisfaite.

Leur position naturelle c’est celle du tireur couché. A la demande de ses maitres, il attend sa cible, vise et fait mouche. Pan, Pan et Pan…

Ironistes sionistes

Le 15 septembre 2011, La compagnie internationale des sots est montée au créneau. La belle mécanique médiatique du mensonge froid et obscène s’est s’emballée et  on a eu droit, dans l’indifférence planétaire, à un remake du film ‘‘Menteur menteur’’ de Tom Shadyac. On a rarement assisté à un déferlement d’âneries depuis des lustres…

Nos deux nains, qui imaginent séduire à force de bonne parole et font circuler le calumet de la paix, sous l’œil moqueur des caméras, dans les résidences de Londres, Paris et Washington, ont oublié qu’on attrape plus vite un menteur qu’un voleur.

Ne crions pas à l’assassin, ce serait péjoratif, car avec ces démocrates la capacité d’exterminer s’est démocratisée à grande allure au détriment d’un peuple pacifique.

Nicolas et David ont été les deux premiers chefs d’Etat et de gouvernement occidentaux à visiter Tripoli et Benghazi, pour introniser leurs copains, alors même que Kadhafi était encore en vie, puisque ce dernier courait toujours, Nicolas en justicier et bienfaiteur de l’univers a déclaré péremptoire «qu’il fallait terminer le travail»… Rien que ça… Ne dit-on pas que l’assassin revient toujours sur les lieux du crime…

Il a aussi hululé «sa grande émotion, de venir dans une Libye libérée»… «Jeunes de Libye, jeunes arabes, la France veut vous dire son amitié»… «Quand on vient ici, on ne se demande pas pourquoi on vient»… «Tant que la paix sera menacée, la France restera à vos côtés»… «Je rêve que les Syriens aient les mêmes chances que vous»… «Il n’y a eu aucun accord et il n y a eu aucun dessous de table quant aux richesses de la Libye»… «Nous croyons dans la Libye unie, pas dans une Libye divisée»… Et de lancer : «L’impunité c’est fini !» Mais là, il a, à priori, omis de préciser si c’était pour lui ou pour Kadhafi…

Et David a ânonné : «Vous avez choisi la liberté»… «Je suis content de l’aide apportée à la Libye. Nous souhaitons vous aider pour votre développement et sur le plan militaire»… A ce niveau là, on se dit que, peut être, il n’a rien compris au film.
Comble de l’indécence, ils ont visité un hôpital, rempli à ras bord par les victimes de leurs bombardements. On ne peut pas mieux faire, ni se refaire d’ailleurs.

Ces deux énergumènes, malgré eux, ont renforcé le fameux dicton : c’est assurément parce que la vitesse de la lumière est plus rapide que celle du son, que tant de gens paraissent brillants avant d’avoir l’air c…

Les preuves pleuvent : en Libye, il y a bien un coup d’Etat.

Guerre-en-Libye

Britanniques et Français larguent leurs bombes sur la Libye.

Le festin libyen

Cette pièce de théâtre a été tournée en ridicule par plusieurs enquêtes d’investigation menées par des journalistes qui ne carburent pas pour le sionisme international.

Ainsi le journal italien ‘‘Libero’’, citant des documents confidentiels de renseignements français, rapporte que le chef de protocole de Kadhafi s’est réfugié à Paris, le 21 octobre 2010, à l’hôtel Concorde Lafayette, où il a rencontré plusieurs fois des dirigeants des services secrets français, pour leur fournir les renseignements utiles pour renverser le régime et des listes de Libyens de «confiance» pour organiser une «révolution».

Le journal électronique italien ‘‘Pace reporter’’ rapporte, dans son édition du 25 mars 2011, que le 23 décembre, trois libyens, Faraj Charrant, Fathi Boukhriss et Ounes Ali Mansouri, futurs dirigeants dans la «révolution», se sont réunis avec les agents de ces mêmes services secrets, dans un restaurant aux Champs Elysées, et qu’immédiatement après est arrivée une aide logistique et militaire française à Benghazi.

‘‘Paris Match’’ du 1er septembre 2011 a rapporté que des militaires et des hommes du commandement des opérations spéciales françaises ont été en première ligne. Ecoutes et photos aériennes montrant les positions de Kadhafi, avec coordination des moyens: les officiers ont servi de courroie de transmission entre la «rébellion» et les forces de l’Otan. Dès qu’une piste est ouverte, les gros-porteurs français livrent les kalachnikovs, RPG-7, radios, téléphones satellitaires… L’acheminement a été fait aussi par voie maritime, notamment les missiles air-sol Milan et Scalp, plus de 1000 de ces engins ont été largués sachant que le coût d’une unité avoisine les 560.000 euros.

25 bâtiments de la marine française et 50 aéronefs ont été déployés. L’aviation a effectué 4500 sorties, auxquelles il faut ajouter les 250 sorties des hélicoptères. Rien que ça.

Le journal britannique ‘‘Sunday Mirror’’ du 16 mars 2011, le journal italien ‘‘Courrier de la colère’’ du 24 avril 2011 et la chaine américaine ABC ont assuré que des centaines de membres des forces spéciales britanniques (les hommes de la SAS et de la Delta Force) et des agents du service d’espionnage MI 6 ont encadré et formé les futurs rebelles libyens.

L’hebdomadaire français ‘‘Le Canard enchainé’’ du 17 mars 2011 a révélé la livraison (déguisée en aide humanitaire) par la DGSE (le service de renseignement et d’action extérieure français) de canons anti-aériens de 105 mm et des batteries antiaériennes mobiles, accompagnées par des instructeurs français.

Selon un média pakistanais proche des services spéciaux pakistanais et ‘‘The New York Times’’ de «petits groupes» d’agents de la CIA et les commandos des forces américaines sont déployés en Libye depuis le mois de janvier 2011 pour prendre contact avec la rébellion et guider les frappes de la coalition.

C’était vraiment une révolution… loin des yeux et loin des lois.

Crimes sans châtiment

Au vu de ce cirque sans chapiteau, choquer ne choque plus. L’irrévérence est la norme. Rien n’étonne. Tout est banal…

David et Nicolas, sont coupables, responsables et pas punis… d’une dérive qui ne ressemble pas du tout à une errance mais plutôt à un plan machiavélique. Et ils continuent à rigoler dans les cimetières libyens… impunément.

Au vu de ce cirque sans chapiteau, le mal n’est pas en nous et c’est nous qu’on veut mettre à l’hôpital, sous l’œil attendri d’Obama et de ses maitres de toujours.

Désormais, les Libyens ont aussi leur axe de l’épouvante. C’est l’axe Paris-Londres-Washington, et Tel-Aviv si vous êtes un tantinet complotiste.

On sait que la barbarie et l’arrogance sont aussi vieilles que l’humanisme et la courtoisie, le plus étonnant c’est qu’elles aient pu durer aussi longtemps.

En attendant, le prochain procès des crimes contre l’humanité à l’instar du «procès de Nuremberg» qui sans aucun doute se tiendra à Tripoli et portera le nom historique du «procès de Tripoli».

* Pneumo-allergologue.

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