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Marzouki, un clown triste à l’assaut de la citadelle Saïed (Vidéo)

L’ancien président «provisoire» Moncef Marzouki, alias «Tartour» (marionnette des Frères Musulmans d’Ennahdha), surnommé aussi «Monsieur 3%», par allusion à son score à la présidentielle de 2019, poursuit sa tournée des chaînes islamistes pour s’attaquer au président de la république Kaïs Saïed. Tel un Don Quichotte triste. Vidéo.

Par Imed Bahri

Après Al-Jazeera, Al-Mustakillah et Zitouna TV, l’ancien «président provisoire» vient de passer dans la soirée du dimanche 19 septembre 2021, sur Al-Hiwar, la chaîne de l’Organisation internationale des Frères Musulmans, dirigée par Azzam Tamimi, ami de Rached Ghannouchi, qui diffuse ses programmes depuis Londres, le fief historique des islamistes du monde entier.

Le «tartour» d’Ennahdha s’y voit déjà

Le sinistre spahi, intervenant depuis «chez lui», à Paris, où il se paye une retraite dorée aux frais des contribuables tunisiens, croit qu’en faisant la tournée des chaînes islamistes, il va faire tomber la citadelle Saïed et – il y croit le bougre – prendre sa place. Or, jusqu’à présent, cette attitude pitoyable et ses gesticulations ridicules ne lui valent que les moqueries des Tunisiens et leurs insultes, plus grossières et plus humiliantes les unes que les autres.

Kaïs Saïd caracole toujours en tête des personnalités en lesquelles les Tunisiens ont confiance avec un taux de plus de 90%, ne laissant aux autres que des miettes. Selon le sondage publié hier par le cabinet Sigma, Moncef Marzouki recueille seulement 1% des intentions de vote. Difficile de voler plus bas ! Le pauvre spahi, quoi qu’il fasse, continuera de mordre la poussière, ayant été carrément vomi par les Tunisiens, qui ne gardent pas un souvenir impérissable de son honteux passage à la tête de la présidence de la république, grâce au coup de pouce providentiel du parti islamiste Ennahdha, qui en avait fait son «tartour», entre janvier 2012 et janvier 2014. Jamais le palais de Carthage n’avait été autant sali, le tapis rouge ayant été déployé, à cette époque, sous les pieds des apprentis terroristes à la barbe traînant à leurs pieds.

Les «zéro virgule» se bousculent au portillon

Le problème de Moncef Marzouki, dont les yeux sont décidément plus gros que le ventre et qui a la faiblesse et la stupidité de s’y voir déjà, c’est que les candidats au poste de «tartour d’Ennahdha» se bousculent au portillon de la bâtisse bleue du quartier de Monplaisir, à Tunis : de Ahmed Néjib Chebbi à Ahmed Safi Saïd, en passant par Jawhar Ben Mbrak, Fadhel Abdelkefi, Yadh Elloumi, Ridha Belhadj et quelques autres poids mouche de la scène politique tunisienne de la catégorie «zéro virgule».

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