En France, malheureusement, le «balancier» politique et médiatique penche depuis 2015 vers l’extrémisme juif symbolisé par le régime non démocratique de Netanyahou en Israël. Mais attention, tous les Juifs ne sont pas comme Netanyahou…
Des voix juives, en Israël et en France, notamment, sont heureusement en éveil pour dénoncer cet extrémisme violent producteur de violences infinies… Voici, entre autres, Michèle Sibony, vice-présidente de l’Union juive française pour la paix (UJFP), qui s’exprime avec beaucoup de sincérité, de courage et de dignité sur la situation actuelle en Israël-Palestine.
Pour la marche «antisimétite» (sic) décidée par le pouvoir français, pour après-demain 12 novembre à Paris, voici ce que dit UJFP : «Défiler dimanche contre l’antisémitisme sans dénoncer les autres formes de racisme, défiler dimanche avec des islamophobes avérés, défiler contre le racisme avec des racistes, ce n’est pas possible.»
Michèle Sibony, née en 1951, milite en faveur de la paix et de la concorde entre Juifs et Palestiniens. Elle n’a pas été invitée sur plateaux télé cette fois – mais elle l’avait été en 2014.
Voici le replay de l’entretien qu’elle a eu, le 3 août 2014, avec TV5 Monde. Ecoutez ! Il est toujours d’actualité. La vérité a les reins solides, quoique fassent les extrémistes de tous bords.
Samir Gharbi
Vidéo de l’entretien sur TV5 en 2014 : 10 mn.
* Titre publié par RFI en juillet 2014…
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