Ooredoo Tunisie et le Croissant-Rouge Tunisien ont signé un contrat de partenariat pour la création d’une clinique médicale mobile.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’élargissement de l’initiative lancée en 2013 par le groupe Ooredoo et la Fondation Leo Messi pour venir en aide aux communautés désenclavées.
En vertu de ce partenariat le Croissant-Rouge Tunisien et l’opérateur de téléphonie mobile s’engagent à conjuguer leurs efforts afin d’améliorer l’accès à la santé des femmes et des enfants dans les zones défavorisées à travers le projet «Clinique de santé mobile», qui sera opérationnelle au début de 2016.
Grâce au financement de l’opérateur Ooredoo, le Croissant-Rouge tunisien se dotera d’une nouvelle clinique mobile, qui contribuera à une meilleure prise en charge des personnes malades dans les régions reculées, qui n’auront plus à se déplacer pendant de longues heures pour atteindre les hôpitaux les plus proches. Elle assurera également la formation des bénévoles du Croissant-Rouge Tunisien et fournira toute information relative à la santé des enfants et des jeunes.
Les communautés visées seront fixées par le Croissant-Rouge selon le degré de priorité. Parmi les zones ciblées, on cite les gouvernorats de Kebili, Gabès, Sidi Bouzid, Mahdia, Kef et Zaghouan.
Le programme appuiera les efforts visant la détection et le contrôle des maladies chroniques et des troubles alimentaires ainsi que la fourniture de conseils en matière de santé pour les communautés mal desservies.
«Nous sommes ravis que la Tunisie ait rejoint la liste des pays ayant bénéficié de l’aide de l’initiative des cliniques médicales mobiles de notre groupe», s’est félicité, à cette occasion, Ken Campbell, le directeur général de Ooredoo Tunisie. «Cette clinique mobile s’intéressera à des problèmes de santé réels dans les zones reculées et nous nous attendons à de bons résultats en termes de nombre de personnes bénéficiant de ces services», a-t-il ajouté.
Rappelons que depuis son lancement, l’initiative des cliniques médicales mobiles a aidé les communautés défavorisées en Indonésie, Myanmar et l’Algérie.
I. B. (avec communiqué).
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