Un passage en force d’une constitution trop associée à la personne du président Kaïs Saïed risque fort de ne pas lui survivre et pourrait même accélérer son discrédit intérieur et extérieur et même sa chute.
Catégorie : POLITIQUE
Tunisie : le boycott du référendum n’empêchera pas l’adoption de la nouvelle constitution
En appelant au boycott du référendum sur la nouvelle constitution, les partis et politiciens opposés à Kaïs Saïed cherchent plus à avoir raison qu’ils ne cherchent l’intérêt de la Tunisie.
Tunisie : Maya Ksouri en mode groupie de Kaïs Saïed
Maya Ksouri ne voit pas d'inconvénient à ce que le caractère civil de l’Etat tunisien ne soit pas mentionné dans le torchon qui sera soumis au référendum le 25 juillet courant.
Tunisie : L’Isie présente le bulletin de vote pour le référendum du 25 juillet
Tunisie : L'Isie présente le bulletin de vote pour le référendum du 25 juillet
Tunisie : Opposé à Saïed et au projet de la constitution, le parti de Mekki appelle au boycott du référendum
Tunisie : Opposé à la nouvelle constitution, le parti de Mekki appelle au boycott du référendum
Slim Laghmani déplore «un déséquilibre des pouvoirs en faveur du chef de l’Etat»
Le projet de nouvelle constitution publié au Journal officiel a supprimé tous les verrous face à une seule personne qui est le chef de l'État, estime Slim Laghmani.
Salwa Hamrouni : «La constitution de Kaïs Saïed n’établit pas d’équilibre entre les pouvoirs»
Le projet de constitution du président Saïed n'établit pas un équilibre des pouvoirs, place tout le pouvoir entre les mains du président de la république, qui n’est même pas tenu de répondre de ses actes, et ce, en l'absence d'une Cour constitutionnelle digne de ce nom.
Tunisie : Fadhel Abdelkefi dénonce les menaces de mort dont son parti est l’objet
M. Abdelkefi accuse ce qu'il appelle des «comités populaires et des milices qui ne croient pas à la démocratie» de «lancer des slogans violents qui équivalent à des menaces de mort» contre son parti Afek Tounes.
Tunisie : un projet de constitution rétrograde et en rupture avec la société
La nouvelle constitution de Kaïs Saïed projette de remplacer la démocratie représentative et ses pratiques parlementaires par un système hyper-présidentiel avec la mise en place d’un environnement institutionnel visiblement conservateur, rétrograde et en rupture avec l’identité de la société tunisienne.
Tunisie-Sadok Belaid : «Nous sommes totalement innocents du projet de constitution proposé au référendum»
Lettre ouverte par laquelle Sadok Belaid renie toute paternité du projet de nouvelle constitution publié par le président Saïed et qui devra faire l’objet du référendum du 25 juillet.