L’histoire contemporaine de la Tunisie est une suite de crises, ponctuées de limogeages brutaux et de changements de cap, pas toujours bien menés,
Étiquette : Beji Caïd Essebsi
Fathia Saïdi : «Le populisme en Tunisie s’est construit sur le rejet des partis»
La Tunisie traverse actuellement une crise de l’action politique, qui est à l'origine de la montée du populisme incarné par Kaïs Saïed.
Tunisie : Interdit de voyage, Noureddine Ben Ticha crie au «terrorisme d’État» !
Le passeport de Noureddine Ben Ticha signale toujours sa qualité de conseiller du président de la république, tout comme du reste sa carte d'identité nationale. Est-ce normal ?
Tunisie : La guerre perdue d’avance des anti-Saïed
Le drame des opposants au président de la république Kaïs Saïed réside dans le fait que leur impopularité n’a d’égal que la popularité de leur adversaire. En fait, ils ont beau avoir raison, peu de Tunisiens leur font confiance ou se laissent influencer par leurs opinions, où ils lisent surtout leur fourberie. C’est le cas...
La «tunisianité» vue à travers l’histoire
Si l’on considère l’histoire récente de la Tunisie, on pourrait voir une manifestation importante de la «tunisianité» dans cette interaction, cette symbiose culturelle entre le chef venu d’Europe et les enfants du pays, cette assimilation par le peuple de ses dirigeants d’origine étrangère et méditerranéenne, et ceci depuis le début du XVIIe siècle. Par Jamila...
Tunisie-Ennahda : Un parti-holding qui ne lâchera pas le morceau facilement
Il ne faudrait pas crier victoire. Le parti islamiste Ennahdha n’est nullement défait et la relève est déjà prête avec les mêmes credo : financement douteux, mensonge, double langage, autocritique factice comme celle des maoïstes dans les années 1970, et en prime, les slogans habituels : consensus et dialogue. Par Dhaou Ben Tahar *
Progressistes tunisiens et socialistes français : la même erreur à 90 ans d’intervalle
Dans ses relations avec les islamistes en général et ceux d’Ennahdha en particulier, l’élite laïque et progressiste tunisienne à commis la même erreur que les socialistes français des années 1935-1940, dans leur mangue de fermeté face au nazisme.