Akon, l’invité de marque du festival de Carthage a été à la hauteur de sa réputation avec une prestation des plus mouvementées. Par Skander Farza
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Akon, une comète dans le ciel de Carthage
Lors du concert d’Akon, dimanche soir, à Carthage, la scène s’est déplacée dans les gradins survoltés, au grand désespoir des agents de sécurité, débordés. Par Hamadi Abassi
Avec Omar Faruk Tekbilek, Carthage retrouve son âme
Le virtuose turc Omar Faruk Tekbilek a interprété des oeuvres du répertoire oriental samedi soir à Carthage. Tout en y apportant une touche contemporaine. Par Skander Farza
Festival de Carthage: Le limogeage de Sonia Mbarek est une intox
Aucune décision n’a été prise par le ministère de la Culture à l’encontre de Sonia Mbarek, qui continue de diriger le Festival de Carthage.
Ben Oncle Soul et Indila à Carthage: Le showman et l’enfant du monde
Le concert offert par Ben Oncle Soul et Indila restera dans les mémoires des Tunisois comme l’un des plus réussis du festival de Carthage 2015. Par Hamadi Abassi
Des journalistes boycottent le concert de Akon à Carthage
Des journalistes ont décidé de boycotter le concert de Akon, demain à Carthage, après l’interdiction qui leur a été faite de prendre des photos ou de filmer.
Festival de Carthage: Interdit de filmer le concert d’Akon
L’équipe du chanteur américain Akon interdit aux radios, télévisions et photographes de filmer ou de prendre des photos pendant tout le concert.
A Carthage: Charlie Winston enlève sa tenue de «hobo»
Avant-hier soir, au festival de Carthage, Charlie Winston a séduit le public par les multiples facettes de son talent artistique. Par Skander Farza
Festival de Carthage: Oncle Soul déchaîné et Indila adulée
Oncle Soul et Indila, jeunes talents de la scène française, ont séduit le public de Carthage par leur prestation musicale et leur jeu de scène. Par Skander Farza
Oumou Sangaré à Carthage: La voix des sans voix
La chanteuse malienne a du talent, mais son concert, dimanche à Carthage, n’a guère décollé, qui plus est, devant des gradins à moitié vides. Par Hamadi Abassi