Tout en reconnaissant que la situation en Tunisie est difficile, le président de la république Kaïs Saïed en impute la responsabilité aux «ennemis de l’Etat qui cherchent à le fragmenter et à nuire à ses institutions, à la paix sociale et à la sécurité alimentaire des Tunisiens», par allusion aux forces d’opposition qui l’accusent d’accaparer...