Pourquoi un si grand écart politique, philosophique et humain entre les projets de constitutions, tunisienne et chilienne, présentées à quelques jours d’écart ?
Catégorie : TRIBUNE
Tunisie : Souriez, vous êtes à l’aéroport de Tunis-Carthage !
Cinquante ans après, l'aéroport de Tunis-Carthage s’est consumé, n’a plus aucune allure, n’ayant pas bougé d’un iota! Celui qui n’avance pas recule! En Tunisie, il périclite, et sur tous les plans! Le trafic aérien s’est multiplié par 20, et les infrastructures n’ont pas suivi.
Nouvelle Constitution : Sadok Belaid, Kaïs Saïed et la versatilité des Tunisiens!
Sadok Belaid passera à la postérité comme étant celui qui a voulu sauver les Tunisien(ne)s de leurs démons avec un projet de Constitution, malheureusement avorté par le président Kaïs Saïed et la versatilité des Tunisiens.
Tunisie – Politique : Kaïs Saïed courtise l’électorat islamiste
Avec la dernière version de la nouvelle Constitution, le président de la République a fait ses calculs sur la carte électorale: les électeurs islamistes lui seront d'un grand secours en 2024.
Tunisie : Bourguiba l’a fait, Ben Ali aussi. Pourquoi pas Kaïs Saïed ?
«Bourguiba l’a fait, Ben Ali aussi. Pourquoi pas moi ?», devait se dire Kaïs Saïed, en se regardant dans la glace, le matin en se rasant.
Tunisie : Kaïs Saïed et l’amateurisme d’État
Une lecture attentive du projet de constitution publié au Jort, devant être soumis à un «plébiscite programmé» le 25 juillet courant, révèle un vice de forme potentiel que peu ont sans doute remarqué, ou en tout cas signalé.
Tunisie : Une nouvelle constitution, et après ?
Des jours extrêmement durs attendent la Tunisie durant les mois prochains et l'imprévisible sera toujours maître des lieux, à moins que les Tunisiens comprennent réellement les enjeux auxquels fait face leur pays et se décident à prendre leur sort en main et à en finir avec les années de braise.
Entre une résistance qui se perd et une soumission qui se déshonore, préserver la Tunisie
Le problème avec la nouvelle constitution proposée par le président de la république Kaïs Saïed au référendum du 25 juillet courant c’est la latitude laissée à une seule personne pour engager l'avenir d'un pays sans aucune consultation ni discussion.
Tunisie : pour que la crise n’accable pas davantage les classes moyennes
Des réajustements doivent être mis en œuvre en urgence en Tunisie non pas vers plus de libéralisme effréné, mais vers une meilleure distribution des fruits de la croissance.
Tunisie : Obligeons Kaïs Saïed à faire marche arrière !
Tout doit être fait pour obliger Kaïs Saïed à faire marche arrière avant le référendum du 25 juillet sur la nouvelle constitution.